Friday, June 10, 2011

Éparpillée

© Tous Droits Reservés, Les Goûters du Divin Marquis

Éparpillée, je me sens éparpillée depuis l'éclipse et d'autres tensions, ne pas dormir, des maux de tête: je me sentais décentré, trop de pensées tournent dans de ma tête.
Comment pourrais-je tout faire? Prends une grande respiration et me détendre ...
j'étais dans cet état lorsque je suis venue pour m'asseoir devant Toi, ma belle D. Nous parlons, et les choses commencent à s'installer en moi.
j'attends, Tu espères que le centre du salon se libera, mais c'est monopolisé par le pestacle pendant plus d'une heure. Enfin, Tu décides de jouer là où nous sommes.
je retire mon corset, laissant ma porte-jarretelles en latex, les bas et le masque. i prendre position sur le tabouret comme Tu aimes : les cuisses écartées, les mains sur mes genoux, le dos cambré, la tête renversée en arrière, les yeux fermés.
Le vent des brises du martinet en latex sur mon dos lorsque Tu me frappes légèrement pour le réchauffement. Tes coups devenaient plus fortes, suivie par le fouet. Tout autour de nous il y a du bruit et de l'agitation, tourbillonnant dans cette façon chaotique et dispersé qui me font me concentrer sur les sensations de Tes coups, et je lâche prise sur le sentiment éparpillé à l'intérieur.
Ton Snake frappe ma tête, je ressens les morsures à travers la peau du latex. Ton contrôle sur ma tête, mes oreilles, mes épaules ... Quelques coups de fouet comme des rasoirs aux points sensibles au milieu de mon dos.
Et lors de cette session, d'autres personnes me touchent réellement, pour me dire au revoir ! Une personne tire ma tête en arrière, me donne un baiser piquant sur ma joue, on met une main sur la mienne. Je reste imperturbable, mais je me demande pourquoi ils se sentent libres de le faire lorsque que Tu me contrôlais…
Ainsi, un mélange de ces sentiments éparpillés et ces événements à l'extérieur tandis Tu alternes les textures du fouet et du martinet.
Tu tires le tabouret en arrière, pour T'asseoir face à moi. j'entends le bruit métallique des pinces lorsque Tu les sortes de leur sac. je halète lorsque Tu les places sur mes tétons, les poids les tirent vers le bas. Tu regardes, doucement échangeant quelques mots avec Ta voisine. j'entends le mot «blanc», et je pense que Tu regardes les pointes de mes seins devenir blancs comme les pinces coupent la circulation, je sais que Tu aimes cela.
Tes mains reprennent la chaîne, Tu appliques et maintiens de la tension. j'aime savoir que je suis entre Tes mains, et le plaisir érotique brûle entre mes cuisses.
Ta main tire ma tête en bas, droite, Tu me dis que je pourrais ouvrir les yeux. Un moment magique regardant dans Tes yeux, le partage du plaisir.
Et je m'agenouille pour d'embrasser Tes pieds, toujours avec une émotion reconnaissante.

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