Dans le boudoir à l'étage, Tu me positionnes sur la chaise dans le coin. C'est notre première fois à jouer ensemble aux Goûters, dans cette pièce allumée à la bougie.
Mais je connais cette chaise très bien, et lorsque je prends ma position, je sens un retour en arrière d'être Chat Pute, dans mon corset rouge, mais je ne suis plus Chat Pute —tellement de choses ont changées, tellement de choses ont évoluées— je suis désormais Ta /seXteen.
Je prends ma position naturellement, me mettant à genoux sur la chaise, mes jambes écartées, mon dos légèrement cambré. J'attends, sentant le vent du martinet lorsqu'il chauffe ma peau, lorsqu'il augmente en force.
Parfois tu me touches, mesurant la chaleur, et glissant un doigt expert entre mes cuisses, touchant mon humidité.
Vient alors le serpent. Je glisse plus bas sur la chaise pour me cambrer plus, t'offrant mes fesses… Tu me fouettes rapidement, la chaleur monte… Et tu me demandes de te regarder dans le grand miroir baroque qui couvre presque tout le mur.
Je me plonge dans ton reflet, tu te tiens si grand et élégant, allumé par les bougies sur la table, joli tableau XVIIIe. Tu soulèves le fouet au-dessus de ton épaule avec du style, je suis fascinée à t'observer, pourtant je fais une grimace en anticipation de chaque coup… trois ou quatre fois…jusqu'à ce que tu décides de couvrir mes yeux avec ton bandeau en satin noir.
Ton fouet est comme un single-tail, mais se termine au bout avec des lanières, qui touchent ma peau d'une manière plus diffuse, en dépit de la force des coups.
Tes coups rapides me couvrent, je flotte dans la sensation, quand tu me dis de me lever. Les yeux toujours bandés, tu me retournes, que je sois face à la petite foule des personnes qui nous observe — leur présence je le sais et je peux les sentir.
Les yeux bandés, montrant mes piercings pour la première fois, exhibée par toi, tu me tiens debout, ton bras autour de ma taille, tandis que ton autre main glisse ses doigts dans ma chatte, m'excitant, trouvant cette endroit ! Tes doigts frottent tellement rapidement à l'intérieur de moi, pendant que tu me chuchotes « Donnes-le moi, donnes moi tout ! »
Et mon cyprine s'accumule, je suis au bord, je peux le sentir venir jusqu'à ce que mon liquide déborde, giclant. « Ahhh, non, » je gémis dans mon orgasme entièrement public, tes doigts pompant furieusement, ma chatte fait les bruits forts et humides lorsque le jus sort, les gouttes coulant à l'intérieur de ma cuisse.
La violence de l'orgasme (en public !), ma soumission totale, l'émission… Je suis ta Femelle, exposée et exhibée par toi.
As-tu goûté mon cyprine suave sur tes doigts, Maître ?
Tu me prends dans des tes bras, j'y fond, car mon émotion coule dans le tien…
Tu décides de me maintenir les yeux bandés lorsque tu me guides en bas, m'asseyant sur un tabouret à côté de toi, car je descends lentement de l'intensité.
Mais je connais cette chaise très bien, et lorsque je prends ma position, je sens un retour en arrière d'être Chat Pute, dans mon corset rouge, mais je ne suis plus Chat Pute —tellement de choses ont changées, tellement de choses ont évoluées— je suis désormais Ta /seXteen.
Je prends ma position naturellement, me mettant à genoux sur la chaise, mes jambes écartées, mon dos légèrement cambré. J'attends, sentant le vent du martinet lorsqu'il chauffe ma peau, lorsqu'il augmente en force.
Parfois tu me touches, mesurant la chaleur, et glissant un doigt expert entre mes cuisses, touchant mon humidité.
Vient alors le serpent. Je glisse plus bas sur la chaise pour me cambrer plus, t'offrant mes fesses… Tu me fouettes rapidement, la chaleur monte… Et tu me demandes de te regarder dans le grand miroir baroque qui couvre presque tout le mur.
Je me plonge dans ton reflet, tu te tiens si grand et élégant, allumé par les bougies sur la table, joli tableau XVIIIe. Tu soulèves le fouet au-dessus de ton épaule avec du style, je suis fascinée à t'observer, pourtant je fais une grimace en anticipation de chaque coup… trois ou quatre fois…jusqu'à ce que tu décides de couvrir mes yeux avec ton bandeau en satin noir.
Ton fouet est comme un single-tail, mais se termine au bout avec des lanières, qui touchent ma peau d'une manière plus diffuse, en dépit de la force des coups.
Tes coups rapides me couvrent, je flotte dans la sensation, quand tu me dis de me lever. Les yeux toujours bandés, tu me retournes, que je sois face à la petite foule des personnes qui nous observe — leur présence je le sais et je peux les sentir.
Les yeux bandés, montrant mes piercings pour la première fois, exhibée par toi, tu me tiens debout, ton bras autour de ma taille, tandis que ton autre main glisse ses doigts dans ma chatte, m'excitant, trouvant cette endroit ! Tes doigts frottent tellement rapidement à l'intérieur de moi, pendant que tu me chuchotes « Donnes-le moi, donnes moi tout ! »
Et mon cyprine s'accumule, je suis au bord, je peux le sentir venir jusqu'à ce que mon liquide déborde, giclant. « Ahhh, non, » je gémis dans mon orgasme entièrement public, tes doigts pompant furieusement, ma chatte fait les bruits forts et humides lorsque le jus sort, les gouttes coulant à l'intérieur de ma cuisse.
La violence de l'orgasme (en public !), ma soumission totale, l'émission… Je suis ta Femelle, exposée et exhibée par toi.
As-tu goûté mon cyprine suave sur tes doigts, Maître ?
Tu me prends dans des tes bras, j'y fond, car mon émotion coule dans le tien…
Tu décides de me maintenir les yeux bandés lorsque tu me guides en bas, m'asseyant sur un tabouret à côté de toi, car je descends lentement de l'intensité.
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photo © Tous droits reservés Les Goûters du Divin Marquis
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