D'Ange est tombé à pic dans ma vie : il a enlevé le cadenas que j'avais placé sur ma féminité, il a impulsé une nouvelle énergie dans mon corps, inspirant un nouvel souffle, ainsi sculptant mon corps .
Je recevais son énergie, je le permettais de créer un nouvel moi, si vulnérable, et mes sentiments si enfouies ressortaient.
Tomber amoureux… ses actions suivaient ses mots pendant un temps, et je lui répondais « oui ».
J'étais en train de négocier mon départ à mon travail, donc j'étais très disponible. Nous nous écrivions des textes en permanence, sur n'importe quoi, de l'érotisme lascive jusqu'aux petits détails de nos vies quotidiennes.
Cela maintenait l'illusion d'une relation avec quelqu'un que je voyais au mieux 12 heures par semaine, parfois moins.
Mais la virtualité crée-t-elle un vrai lien finalement ?
En fin de compte, quand la confiance implosait, je ne savais pas qui il était, vraiment.
Mais ces choses là, je sais qu'elles sont vraies : notre BDSexM, notre animalité, le fuckage et le fouettage, comment nous étions ensemble, sans les mots.
La sensation de son souffle ou de ses lèvres sur ma nuque, ses doigts dans ma chatte, qui pistonnaient mon Gspot pour m'inciter à gicler, son corps contre le mien, ses bras autour de ma taille… comment il m'a baisé, la manière qu'il m'a fouetté, comment sa langue léchait mon clito ou mon cul, sa bite dans ma bouche, sa bouche ou ses doigts tirant sur les anneaux… la façon qu'il dormait, ma tête sur son épaule, la manière qu'il ronflait, comment il bougeait encore à moitié-endormi au milieu de la nuit pour aller pisser… comment il m'a mordue, la manière qu'il m'a possédée… son désire, l'osmose… ce lien entre nous, cette fusion… notre animalité au masculin/féminin, nos phéromones.
Voici le problème. Je ne peux pas diviser mon coeur, et parfois je le donne trop facilement. Le nous que nous étions ensemble me manque, mais l'amour n'a pas de l'avenir quand il y a de la souffrance.
La prochaine grande étape pour moi sera de stabiliser ma vie amoureuse. La bonne personne viendra bientôt : il est juste sur l'horizon.
J'étais en train de négocier mon départ à mon travail, donc j'étais très disponible. Nous nous écrivions des textes en permanence, sur n'importe quoi, de l'érotisme lascive jusqu'aux petits détails de nos vies quotidiennes.
Cela maintenait l'illusion d'une relation avec quelqu'un que je voyais au mieux 12 heures par semaine, parfois moins.
Mais la virtualité crée-t-elle un vrai lien finalement ?
En fin de compte, quand la confiance implosait, je ne savais pas qui il était, vraiment.
Mais ces choses là, je sais qu'elles sont vraies : notre BDSexM, notre animalité, le fuckage et le fouettage, comment nous étions ensemble, sans les mots.
La sensation de son souffle ou de ses lèvres sur ma nuque, ses doigts dans ma chatte, qui pistonnaient mon Gspot pour m'inciter à gicler, son corps contre le mien, ses bras autour de ma taille… comment il m'a baisé, la manière qu'il m'a fouetté, comment sa langue léchait mon clito ou mon cul, sa bite dans ma bouche, sa bouche ou ses doigts tirant sur les anneaux… la façon qu'il dormait, ma tête sur son épaule, la manière qu'il ronflait, comment il bougeait encore à moitié-endormi au milieu de la nuit pour aller pisser… comment il m'a mordue, la manière qu'il m'a possédée… son désire, l'osmose… ce lien entre nous, cette fusion… notre animalité au masculin/féminin, nos phéromones.
Voici le problème. Je ne peux pas diviser mon coeur, et parfois je le donne trop facilement. Le nous que nous étions ensemble me manque, mais l'amour n'a pas de l'avenir quand il y a de la souffrance.
La prochaine grande étape pour moi sera de stabiliser ma vie amoureuse. La bonne personne viendra bientôt : il est juste sur l'horizon.
Hello
ReplyDeleteJe retrouve bcp de choses de ma dernière relation :)
Corto