Nicolas, la précision & l'intention de ses cordes, les pauses, l'appui, oui j'aime cette contrainte serrée, ses cordes fluides.
Son bras qui s'appuie fort sur ma gorge, qui m'étrangle, la lumière blanc qui nous éclaire scintille, je vois des étoiles.
Douce descente par terre, sa présence contre moi lorsqu'il m'attache avec plus de contrainte, une jambe croisée devant, une corde entre le gros orteil... Des cordes qui viennent compresser mon ventre, qui montent pour arrêter ma respiration, le contrôler.
Lorex me surveille de loin.
Puis, sa main qui prend l'autre pied, non pas pour l'attacher, mais pour me tester...
Sa pouce s'appuie sur la plante de mon pied, sur les points de réflexologie. Est-ce qu'il veut me faire du bien, que je relâche des endroits qu'il a pu ressentir résistants dans mon corps ?
Sa pouce s'appuie avec de plus en plus d'insistance sur des différentes points, certains bien plus douloureux que d'autres. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir trop facilement, je respecte le chemin du silence imposée par Aloysse... mais certains points me font réellement gémir, et les sons résonnent dans la pièce, audibles malgré la musique techno.
Satisfait, il s'arrête, et me détache doucement. Je descends du voyage, j'ouvre mes yeux...
"Je crois que t'es masochiste", il murmure.
"Ahhh, ça ! Je le sais que je suis masochiste !!"
Et il me réponde "Et moi, je découvre que t'es masochiste !"
///
Vers la fin de la soirée, Lorex m'appelle avec son regarde de venir le rejoindre à côté de la cage. Comme j'étais en train de grignoter un petit barre aux céréales, je lui offre un bout.
"T'en as d'autres ?" me demande-il, et lorsque je me retourne pour chercher dans mon sac posé sur la cage, il attrape mes mains.
Sourire de complicité, le prédateur fonce.
Ses cordes m'enlacent, il me retourne, ses cordes intentionnés qui deviennent plus incisives, qui serrent quand il les tire.
Encore mon coude enroulé et plié en arrière, à la limite de mon possible... Et avec des gestes d'encordage fluide, je suis sa captive.
Une corde se file dans ma bouche, autour de ma tête pour revenir sur un œil fermé. Pression et je vois des formes géométriques qui morphent, liquides. Des rectangles verticaux en gris avec des contours épaisses en noir avec une touche de blanc, des papiers peints un peu 70s mais fluides... comme un acid flashback lumineux.
Je me plonge dedans, j'adore ces visions ! Vers la droit, une forme apparaît, brillant, blanc.
La pression est enlevée. Du coup je vois les motifs dans leurs couleurs négatives... plus estompées.
Je suis ailleurs, Lorex joue avec moi... il me fait glisser au sol, encore une corde serré dans ma bouche, sur l'œil... des visions, lumières bleues vives, douce feux d'artifices.
Il me tient contre lui, pour que je reviens doucement, lui murmurant mes visions.
///
Retour aux cordes après une pause de 2.5 mois... oui, j'aime toujours et j'apprécie d'autant plus l'évolution de l'année dernière.
Je suis là, présente, et je ressens tout : le glissement sensuel des cordes, leur incision dans ma chair parfois, le voyage ailleurs que mon attacheur m'offre, le voyage ensemble.
Son bras qui s'appuie fort sur ma gorge, qui m'étrangle, la lumière blanc qui nous éclaire scintille, je vois des étoiles.
Douce descente par terre, sa présence contre moi lorsqu'il m'attache avec plus de contrainte, une jambe croisée devant, une corde entre le gros orteil... Des cordes qui viennent compresser mon ventre, qui montent pour arrêter ma respiration, le contrôler.
Lorex me surveille de loin.
Puis, sa main qui prend l'autre pied, non pas pour l'attacher, mais pour me tester...
Sa pouce s'appuie sur la plante de mon pied, sur les points de réflexologie. Est-ce qu'il veut me faire du bien, que je relâche des endroits qu'il a pu ressentir résistants dans mon corps ?
Sa pouce s'appuie avec de plus en plus d'insistance sur des différentes points, certains bien plus douloureux que d'autres. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir trop facilement, je respecte le chemin du silence imposée par Aloysse... mais certains points me font réellement gémir, et les sons résonnent dans la pièce, audibles malgré la musique techno.
Satisfait, il s'arrête, et me détache doucement. Je descends du voyage, j'ouvre mes yeux...
"Je crois que t'es masochiste", il murmure.
"Ahhh, ça ! Je le sais que je suis masochiste !!"
Et il me réponde "Et moi, je découvre que t'es masochiste !"
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Vers la fin de la soirée, Lorex m'appelle avec son regarde de venir le rejoindre à côté de la cage. Comme j'étais en train de grignoter un petit barre aux céréales, je lui offre un bout.
"T'en as d'autres ?" me demande-il, et lorsque je me retourne pour chercher dans mon sac posé sur la cage, il attrape mes mains.
Sourire de complicité, le prédateur fonce.
Ses cordes m'enlacent, il me retourne, ses cordes intentionnés qui deviennent plus incisives, qui serrent quand il les tire.
Encore mon coude enroulé et plié en arrière, à la limite de mon possible... Et avec des gestes d'encordage fluide, je suis sa captive.
Une corde se file dans ma bouche, autour de ma tête pour revenir sur un œil fermé. Pression et je vois des formes géométriques qui morphent, liquides. Des rectangles verticaux en gris avec des contours épaisses en noir avec une touche de blanc, des papiers peints un peu 70s mais fluides... comme un acid flashback lumineux.
Je me plonge dedans, j'adore ces visions ! Vers la droit, une forme apparaît, brillant, blanc.
La pression est enlevée. Du coup je vois les motifs dans leurs couleurs négatives... plus estompées.
Je suis ailleurs, Lorex joue avec moi... il me fait glisser au sol, encore une corde serré dans ma bouche, sur l'œil... des visions, lumières bleues vives, douce feux d'artifices.
Il me tient contre lui, pour que je reviens doucement, lui murmurant mes visions.
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Retour aux cordes après une pause de 2.5 mois... oui, j'aime toujours et j'apprécie d'autant plus l'évolution de l'année dernière.
Je suis là, présente, et je ressens tout : le glissement sensuel des cordes, leur incision dans ma chair parfois, le voyage ailleurs que mon attacheur m'offre, le voyage ensemble.
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