Tes mains encerclent ma taille avec une grosse chaîne, qui descende sur ma vulve, comme tu le feras avec une corde, sauf que la chaîne est cadenassée, avec une longueur qui pend entre mes cuisses.
Tu me prépares comme ton esclave pour recevoir une invitée que je connais, qui passe à la maison.
Avec une plus petite chaîne, tu relies mon collier à la grande chaîne, comme une sorte de harnais. Des pinces japonix tiennent mes tétons rigides, "l'anneau bien droit dans l'air pour montrer que la pince est bien placée", avec des poids qui pèsent en serrant ainsi les pinces.
Tes doigts placent deux poids de 100g sur les lèvres de ma vulve. Je suis ainsi ornée à ton goût, nue à l'exception de mes bottes.
J'écoute tes instructions de ce que je dois faire à son arrivée : ouvrir la porte, la recevoir, comment je dois me tenir pour offrir un verre, et surtout comment je dois marcher.
L'invitée arrive, je la reçois comme tu m'as demandé. Elle est surprise, évidemment, de me voir en esclave, et elle doit se demander ce qui pourra se passer. Mais c'est prévu de sortir ensuite, boire un verre, et discuter.
Tu es assis sur la canapé, je vois dans ton regard ton attitude de Dominateur. Je fais le service, avec quelques aller retours vers la cuisine.
Je marche avec des grands pas, les cuisses ouvertes, pour bien faire bouger les poids comme tu me l'as demandé.
Une fois que je vous ai servie les boissons, je me tiens debout devant vous, les mains dans le dos. Envie que tu sois fière de moi.
L'invitée est un peu blême, troublée. Elle me toise avec émotion, rapidement. "C'est lourde ?" elle me demande.
"Oui, mais c'est relatif," je lui réponds, sachant que j'ai eu des poids bien plus lourdes... Et je fais encore un aller-retour avec des grands pas, les poids qui se remuent entre mes cuisses.
Quand les verres sont vides, tu me donnes un signe. Je m'approche de toi, tu enlèves les pinces, les poids qui sont mouillés, ainsi que la chaîne... Tu me les fais remarquer et je dois les nettoyer avant de me changer en civil pour sortir, portant toujours le collier.
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Ce que je ne savais pas c'est qu'un long fil de mouille descendait sur la chaîne qui pendait entre mes cuisses.
En rentrant, tu m'as chuchoté que c'était bien visible, et que l'invitée l'avait remarqué aussi. Cette information m'a surprise et je me suis sentie honteuse - je ne maitrise pas mon corps... quand je suis stimulée et excitée comme ça, mon corps le montre à mon insu.
Je suis juste insupportable !!
/// photo©DR
Si mes quelques mots, mes impressions vous sont "agréables", pourquoi ne pas continuer à vous faire part de ce qu'évoquent vos écrits.
ReplyDeleteLe dernier : troublant. Une double tension : celle de vos chaines et des poids, celle de regards qui vous tiennent sous dépendance. Votre plaisir m'a renvoyé à un moment vécu avec maitresse Caly. Attaché à un barre au centre de la pièce, collier au coup, pinces et poids (modérés) aux seins et aux couilles. Jambes écarté, dos offert. Je ne suis pas seulement resté exposé à la vue. Mais pendant que Maitresse Caly, s'occupait de moi avec son martinet une assistante que je n'ai jamais vu, me caressait tout le corps avec une plume. Violence et effleurement.
Qu'y a-t-il de commun entre ce souvenir et la scène que vous décrivez. Cet intense abandon probablement. Celui qui fut le votre appelle celui qui fut le mien.
Un délicieux moment.
Belle soirée,
Jean