Saturday, July 12, 2014

L'écrasement, ou 40 minutes de sodomie

Cet effluve, cet enivrant mélange de la sueur, du sperme, ma cyprine, ton musc, mes doigts, des traces de merde... cet émanation qui m'accable comme un fromage bien mûr.

Je te suce en humant cette mélange intense, cette odeur imbibée de phéromones, lorsque tu m'embrasses dans le trou de la cagoule - rapide et envahissif, reptilien. Ta langue me perce, tes lèvres aspirent ma langue, et tu me lâches enfin. Tes joues gonflent et *pop*,  tu souffles dans ma bouche, t'envoies ton air en moi.

Ta queue assaille ma bouche, au plus profond. J'inhale cette odeur, ce parfum unique. Tu ressors pour projeter ta salive dans ma bouche, *pop*… Surprise, je comprends que t'as craché. Apparemment j'avais souri avec une certaine satisfaction, du genre "enfin" ! Du coup, t'envoies ta salive, tu la craches dans ma bouche, trois fois pour lubrifier, pour que je puisse te sucer encore.

C'était trop, cette sensation épaisse dans ma bouche, la quantité projetée au fond... et déjà oppressée par l'effluve, je m'étouffe, je recrache en toussant.

"Orange? Vert ?" tu me demandes avec les safewords, mais je ne m’en souviens plus, j'ai juste besoin d'un verre d'eau.

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Parti d'un jeu innocent, tu m'as posé mes poids sur les anneaux et tes pinces-poids sur chaque côté de mes tétons. Comme je me suis installée sur le canapé d'une manière que tu trouvais provocante, t'as pris ta cravache pour fouetter mes cuisses, et les bouts de mes tétons, avant de me mordre le sein.

Tu cherches une cagoule et un collier minerve dans ta chambre, que tu poses sur moi. Tu m'envoies me regarder dans la glace - j'ai l'air d'une terroriste avec ma veste militaire.
Cette veste est vite enlevée, et tu m'installes nue sur une chaise face au dossier.


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Assise sur une chaise, face au dossier, cambrée. Le cul ouvert, exposé. Ton désire de me sodomiser.

Mais d'abord les gouttes de la cire sur mon dos, dans la raie de mes fesses; ces gouttes qui coulent autour de mon trou en me brulant et qui te satisfont tant !
Je te sens t'activer autour de moi lorsque tu éteins rapidement la bougie sur mes fesses et tu passes à l'exploration lubrifiée de mon cul avec tes doigts.


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La pénétration est facile. Tes doigts plongent dans mon sexe en même temps; un autre s'appuie sur mon clito, et je ressens une jouissance émue, et haletante.

Tes doigts plongent dans mon cul, tu m'ouvres vers ton plaisir. Les gouttes de cire craquent sur mon dos, et sur la raie de mes fesses. Une main dans mon cul, l'autre qui me tape fort sur l'épaule.

Une "perte" d'identité - je suis devenue anonyme, ton objet. Parfois je suis Femme, parfois comme un mec gay, surtout quand tu me tapes sur mon dos.
Et puis, cette sodomie interminable à quatre pattes, pendant au moins 30/40 min. Tu gères tout, je ne dois pas regarder entre mes cuisses s'il y a des choses qui sortent. C'était plutôt clean.

"Sens ma queue qui te sodomise, sens mon plaisir", tu m'ordonnes.  Mes doigts cherchent mon clito, touchent ma vulve gonflée et si trempée— cette douceur en complément de ta rigidité puissante qui défonce mes reins.

Je suis souvent au bord d'une jouissance interrompue par tes demandes de fellation.
Je te suces. Et puis, tu recommences. D'abord dans mon sexe, ensuite dans mon cul de nouveau. (Tu t'es lavé, changement de capote).

Te sucer encore. L'effluve. Puis tu reprends mon cul dans une sodomie interminable.

Quand tu es satisfait, tu me donnes des coups de cravache sur les fesses comme une punition et je ressens un léger sens d'humiliation.

"L'écrasement", tu m'as dit.
"L'anéantissement..."





1 comment:

  1. « Un peu de merde et de fromage
    Ne sont pas pour m’effaroucher
    Mon nez, ma bouche et mon courage
    Dans l’amour de gamahucher. »

    Paul Verlaine

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