Cet effluve, cet
enivrant mélange de la sueur, du sperme, ma cyprine, ton musc, mes
doigts, des traces de merde... cet émanation qui m'accable comme un
fromage bien mûr.
Je te suce en humant cette mélange intense,
cette odeur imbibée de phéromones, lorsque tu m'embrasses dans le trou
de la cagoule - rapide et envahissif, reptilien. Ta langue me perce, tes
lèvres aspirent ma langue, et tu me lâches enfin. Tes joues gonflent et
*pop*, tu souffles dans ma bouche, t'envoies ton air en moi.
Ta
queue assaille ma bouche, au plus profond. J'inhale cette odeur, ce
parfum unique. Tu ressors pour projeter ta salive dans ma bouche, *pop*…
Surprise, je comprends que t'as craché. Apparemment j'avais souri avec
une certaine satisfaction, du genre "enfin" ! Du coup, t'envoies ta
salive, tu la craches dans ma bouche, trois fois pour lubrifier, pour
que je puisse te sucer encore.
C'était trop, cette sensation
épaisse dans ma bouche, la quantité projetée au fond... et déjà
oppressée par l'effluve, je m'étouffe, je recrache en toussant.
"Orange? Vert ?" tu me demandes avec les safewords, mais je ne m’en souviens plus, j'ai juste besoin d'un verre d'eau.
///
Parti
d'un jeu innocent, tu m'as posé mes poids sur les anneaux et tes
pinces-poids sur chaque côté de mes tétons. Comme je me suis installée
sur le canapé d'une manière que tu trouvais provocante, t'as pris ta
cravache pour fouetter mes cuisses, et les bouts de mes tétons, avant de
me mordre le sein.
Tu cherches une cagoule et un collier minerve
dans ta chambre, que tu poses sur moi. Tu m'envoies me regarder dans la
glace - j'ai l'air d'une terroriste avec ma veste militaire.
Cette veste est vite enlevée, et tu m'installes nue sur une chaise face au dossier.
///
Assise sur une chaise, face au dossier, cambrée. Le cul ouvert, exposé. Ton désire de me sodomiser.
Mais
d'abord les gouttes de la cire sur mon dos, dans la raie de mes fesses;
ces gouttes qui coulent autour de mon trou en me brulant et qui te
satisfont tant !
Je te sens t'activer autour de moi lorsque tu éteins
rapidement la bougie sur mes fesses et tu passes à l'exploration
lubrifiée de mon cul avec tes doigts.
///
La
pénétration est facile. Tes doigts plongent dans mon sexe en même
temps; un autre s'appuie sur mon clito, et je ressens une jouissance
émue, et haletante.
Tes doigts plongent dans mon cul, tu m'ouvres
vers ton plaisir. Les gouttes de cire craquent sur mon dos, et sur la
raie de mes fesses. Une main dans mon cul, l'autre qui me tape fort sur
l'épaule.
Une "perte" d'identité - je suis devenue anonyme, ton
objet. Parfois je suis Femme, parfois comme un mec gay, surtout quand tu
me tapes sur mon dos.
Et puis, cette sodomie interminable à quatre
pattes, pendant au moins 30/40 min. Tu gères tout, je ne dois pas
regarder entre mes cuisses s'il y a des choses qui sortent. C'était
plutôt clean.
"Sens ma queue qui te sodomise, sens mon plaisir",
tu m'ordonnes. Mes doigts cherchent mon clito, touchent ma vulve
gonflée et si trempée— cette douceur en complément de ta rigidité
puissante qui défonce mes reins.
Je suis souvent au bord d'une jouissance interrompue par tes demandes de fellation.
Je
te suces. Et puis, tu recommences. D'abord dans mon sexe, ensuite dans
mon cul de nouveau. (Tu t'es lavé, changement de capote).
Te sucer encore. L'effluve. Puis tu reprends mon cul dans une sodomie interminable.
Quand
tu es satisfait, tu me donnes des coups de cravache sur les fesses
comme une punition et je ressens un léger sens d'humiliation.
"L'écrasement", tu m'as dit.
"L'anéantissement..."
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« Un peu de merde et de fromage
Ne sont pas pour m’effaroucher
Mon nez, ma bouche et mon courage
Dans l’amour de gamahucher. »
Paul Verlaine
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