Sunday, May 25, 2008

rouge & noir


kisses to my sister
*X*



photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis

Sunday, May 11, 2008

Quand je vous ai vu, j'ai tremblé.

Monsieur Keita, at the back of the 60 bus.
I'm on my way to see a friend, sitting at the back of the bus. I'm a few stops away, & I press the button & take off my iPod earphones.
The black guy sitting near me says : Vous êtes bien bronzée.
That makes me smile, as he has very black skin & I'm not tan at all.
Of course, he wants to have a drink, but when I tell him I have a rendez-vous, he says : Ah, qu'il a de la chance ! Il faut qu'il prenne bien soin de vous, sinon, il va perdre un diamant ! Quand je vous ai vu, j'ai tremblé...
He takes advantage to touch my bare shoulder, his eyes are luminously bewitching, like a snake or a marabout.

09.05.08

I loose myself in your eyes, their amazing color penetrating me, almost hypnotic. My eyes blur & lightness fills my head as you squeeze & pinch my tits, your fingers pressing so hard, in, out, in ways I'd never imagined, as if I'd been waiting all my life for this moment without knowing it.
You press my nipples in & out, creating intense points where pain meets pleasure. I wince, & you continue, manipulating in other ways. My eyes never leave yours, I don't even notice the flash of the camera. I offer myself to you as you slap & spank my breasts.
My eyes blur, I'm dizzy & the desire to kiss you lingers, but I just draw in the suspended breath.
I catch a sadistic glint in your eyes, just when the bell rings, & I wonder what the next step would have been.Slight bruises from your fingers that pressed so deeply into my flesh.


09.05.08

Je me perds dans tes yeux, leur couleur incroyable me pénètre, c'est presque hypnotique. Je vois trouble et ma tête tourne quand tu palpes et pinces mes seins, tes doigts qui me pressent fort, si fort, les enfonçant, me tirant comme je ne l'avais jamais imaginé, comme si j'avais attendue toute de ma vie pour ce moment, sans le savoir.
Tu pinces mes tétons, les enfoncent, les tirent, cela crée des points intenses, à la frontière de la douleur et du plaisir. Je grimace, et tu continues, les manipulant de toutes sortes de façons. Mes yeux ne quittent pas les tiens, je ne remarque même pas le flash de la photo. Je m'offre à toi lorsque tu gifles et claques mes seins.
Je vois un lueur sadique dans tes yeux, juste au moment qu'on sonne à la porte, et je me demande quelle aurait été l'étape suivante.

Des traces bleus de tes doigts qui se sont enfoncés dans ma chair.

Monday, May 05, 2008

as a young ice-skater / en jeune patineuse



*
I didn't last too long, as the ice gave me a headache.
Cela n'a pas duré longtemps, comme la glace
me donnait mal à la tête.




Dr. Cook, pédiatre


Dr. Cook, pédiatre
A handsome dark-haired man with 3 adorable platinum blonde daughters in my school.

My mother would sit in the waiting room during my check-ups. I suppose I was about 8 years old, & I also had long platinum blonde hair.
The visit would proceed in the usual way — stethoscope, etc — until at the very end, he would ask me to drop my white panties down to my ankles as I was told to lie back on the table, my knees over the edge, legs spread apart. I would hear the sound of a small thumb rubber — perhaps I even watched as he put it on his thumb — I remember how strange it seemed.
He would tell me to look up at the round reflective mirror strapped around his head, as he pushed his thumb into my vagina, pressing his other hand on my abdomen, I suppose ostentatiously feeling if my ovaries were developing properly.
These gestures made me want to pee, but it was exciting & pleasurable at the same time, so surprising a sensation.
Seeing his face, his eyes looking into mine, looking up at the mirror, feeling his thumb penetrating me.
Oddly enough, these examinations stopped once my pubic hair began to grow.




Dr. Cook, pédiatre
Dr. Cook, pédiatre. Un bel homme aux cheveux noirs, père de 3 filles adorables aux cheveux platines, écolières dans le même établissement que moi.
Ma mère restait dans la salle d'attente pendant mes visites. Je crois que j'avais 8 ans, avec des longs cheveux platines, moi aussi.
La visite se passait comme d'habitude — stéthoscope, etc — sauf qu'à la fin, il me demandait de glisser ma culotte blanche autour de mes chevilles, me disant de m'allonger sur le dos, les genoux au bord, mes jambes écartées. J'entendais le bruit élastique d'une petite préservatif pour la pouce — c'est possible que je le regardais le mettre sur sa pouce — je me souviens que cela me semblait étrange.
Je regardais le miroir réflecteur et ronde sur le bandeau autour de sa tête, comme il me le demandait, pendant qu'il insérait sa pouce dans mon vagin, l'autre main pressant sur mon abdomen, je suppose qu'il vérifié que mes ovaires se développaient normalement.
Ces gestes me donnaient envie de pisser, mais c'était excitant et agréable à la fois, des sensations tellement surprenantes.
Son visage, ses yeux qui regardaient dans les miens, je regarde le miroir sur sa tête, je sens sa pouce me pénétrer.
Bizarrement, ces examens s'arrêtaient quand les poils pubiens apparaissaient.

The Yardstick


A memory from when I was about 4.

///
Giggling in the dark with my sister Janet, we were both very young, maybe 3-4 years old. A vision of the light coming into the room, a white triangle of light as the door opened, the tall black silhouette of my father.
And the strike of the yardstick very hard on my bottom. Crying.
Apparently we'd been told to go to sleep & our giggling had upset him. We had a joke, a silly joke of a 3 year old, something like : where's the nut in the peanut ?
What tension & anger & stress my father must have been in to so punish his two little girls giggling in the dark ?

Later I asked him about the yardstick. He said that Grammie used it on him when he was little.




Le mètre en bois

Un souvenir de mes 4 ans


///
Petit fou rire dans le noir avec ma sœur Janet, nous étions très jeunes, autour de 3-4 ans. Une vision de la lumière qui entrait dans la chambre, une triangle de lumière blanche quand la porte s'ouvrait, la grand silhouette noire de mon père.
Et le coup du mètre en bois sur mes fesses. Pleurs.
Apparemment, il nous avait dit de nous coucher & notre fou rire le dérangeait. Nous avons eu une blague, une petit blague bébête d'un enfant de 3 ans, quelque chose comme : where's the nut in the peanut ? (là c'est intraduisible... si qu'un peut me suggérer l'équivalente ...)
Dans quel état de tension, de colère et du stresse était mon père pour punir ainsi ses deux fillettes qui rigolaient ensemble dans le noir ?


Plus tard, je lui ai demandé ce qui s'est passé avec le mètre en bois. Il m'a répondu que sa mère l'utilisait quand il était petit.

Dr. Smith, urologist

Dr. Smith, urologist
A man in a dark suit, white shirt & glasses, the father of my classmate Marsha.

I wet my bed until late childhood. I still don't quite know why, but I suppose it was anxiety of some sort, living with volatile parents. It was decided to consult Dr. smith to see if there was anything physically wrong. My mom explained this to me as she drove me to his office.

My mother sat in the office while Dr. Smith took me into the examination room. I took off my panties & laid back on the gyn table, my legs in the metal stirrups. the room was dark except for a bright light shining down on me.
With an intent look, Dr. Smith began to insert a glass straw into my urethra. No local anesthetic or anything. It hurt & I cried & screamed & I wouldn't let him do it.
In the car on the way back, still sobbing, I told my mother that I never wanted to see him again !

Later it was decided that I should go to the hospital to be examined under general anesthetic. Nothing was physically wrong with me.

For the first time, I had my temperature taken anally. This was pleasurable. After my recovery (cloudy awakening, extreme burning sensation when I peed), I repeated this anal stimulation with a hairpin taken from my mother.
I would do this secretly in bed, being careful to wash the hairpin afterwards. As my young breasts developed, I would also use the hairpin to pinch my nipples. This was also very pleasurable. I would pull on my little nipples, hoping to make the small mounds grow. Auto-eroticism at this young age before I even knew about sex.



Dr. Smith, urologue
Un homme dans un costume foncé, chemise blanc, des lunettes, le père de ma camarade de classe, Marsha.

Je faisait pipi au lit tardivement. Je ne sais toujours pas pourquoi exactement, mais je suppose que c'était d'une sorte d'anxiété, que je vivais avec des parents volatiles. C'était décidé de consulter Dr. Smith enfin de voir s'il y avait une cause physique. Ma maman me l'expliquait quand elle m'a conduit à son cabinet.
Ma mère s'est assise dans la salle d'attente, tandis que Dr. Smith me faisait entrer dans la salle d'examination. J'ai enlevé ma petite culotte, et je me suis allongée sur la table gynéco, mes jambes dans les étriers en métal. La pièce était dans le noir, juste une lumière éclatante qui m'éclaircissait.
D'un regarde attentif, Dr. Smith commençait à insérer une paille en verre dans mon urètre. Aucun anesthésie local, ni rien. ça me faisait mal, j'ai pleuré en hurlante, et je lui ai empêché d'arriver au but.
Dans la voiture au retour, sanglotante encore, j'ai dit à ma mère que je ne voulais plus jamais lui voir !

Peu de temps après, c'était décidé de me faire examiner à l'hôpital sous anesthésie générale. Ils n'ont trouvé aucune cause physique.
Ma température était prise par voie rectale, pour la première fois. C'était agréable. Après mon rétablissement (me réveillant dans des nuages, une sensation extrême et brûlante quand je faisais pipi), je renouvelais cette stimulation anale avec une épingle à cheveux que j'avais piquée à ma mère.

Je le faisais en secret dans mon lit, faisant attention de bien le nettoyer après. Quand mes jeunes seins commençaient à pousser, je les pinçais avec cette épingle aussi. ça aussi était très agréable. Je tirais aussi sur mes petits tétons, espérant de faire pousser ces petits monts. L'auto-érotisme à cette âge tendre, avant même de prendre conscience de ma sexualité.

Sunday, May 04, 2008

Pet Girl II - VF




Nawa-kin m'a bondagé debout, un harnais autour de mes seins et de ma taille, les bras attachés et soulevés, avec une corde provocatrice entre mes fesses, ce qui restreint mes cuisses à la fois. Je suis debout devant la glace, Ôda prend quelques photos. Quelque temps après, Nawa-kin me détache les cuisses, et cette longueur de corde devient une laisse, attaché au harnais. Elles s'amusent à me donner des ordres de Toutou — Assis ! Couché ! Au pied ! — et je m'amuse à les obéir, j'aboie de temps en temps. Elles m'ordonne finalement de me coucher, je m'enroule par terre sur le tapis. Nawa-kin s'assoit dans une fauteuil, la laisse à la main, mais comme elle ne se sent pas à l'aise en Domina, elle s'assoit par terre à mes côtés. Allongée, je regarde en haut, cette nouvelle perspective m'amuse quand je vois Jade à quatre pattes, la perspective de sa silhouette rampant vers Julien, la projection porno derrière sur le mur. Je suis complètement absorbée dans cette vision, j'en suis ravie de cette perspective, quand la laisse est tiré avec autorité par le Marquis qui m'ordonne à me mettre à quatre pattes. A-t-il pris une poignée de mes cheveux lorsque je j'obéis ? Je suis excitée par sa ruse, il tire la laisse avec maîtrise.
Avec la triple badine (fagot ?) , il me donne des coups, les marques de ma punition précédente encore visibles. Il continue plus longtemps et plus fort que jamais, et je pleure et gémisse. L'intensité se mêle avec des vagues du plaisir, jusqu'à cette mélange complexe me fait fondre presque sanglotante dans les bras de Nawa-kin. Un moment d'abandon, je me lâche presque totalement, au bord du précipice émotionnel.
Je ne me souviens pas si Mast'Her m'avait consolé ensuite —c'est possible qu'il l'a fait— je me souviens juste de l'émotion qui montait dans ma poitrine sans frein, la mélange de la douleur et du plaisir, je m'effonds dans les bras de ma sœur.

Nawa-kin me confie qu'elle est jalouse de la badine — mais pas pour longtemps, comme nous sommes conduites à un coin, je m'assois sur une tabouret, mes cuisses grande ouvertes enjambant ses épaules, elle s'appuie sur moi, elle est à quatre pattes.

Lorsque Mast'Her s'en serre de la badine, plus vivement et plus longtemps qu'avec moi, lorsque l'intensité augemente, sa poitrine glisse vers le sol, elle s'accroche à ma cheville avec les deux mains. Je le regarde prendre l'interieure de ses fesses à pleine mains, la pincant et la tordant. Le mystère de cette pulsion, ces gémissemnts si forts que j'imagine que cela lui fait vraiment très mal tandis qu'il continue à s'enfoncer ses doigts, à la malaxer jusqu'à des bleus visibles quand il lache ses mains. (Mes pensées courent à toute vitesse : pourquoi il fait ça ? Est-ce qu'il va vouloir me le faire ?)
Après, il la console, il la prends dans ses bras tandis qu'elle sanglote, il lui caresse sa tête, ses cheveux... il s'assoit dans une fauteil et elle se mets à ses pieds.
Il part ouvrir la porte de l'entrée, elle reste là devant le fauteuil vide, en pleures, la tête appuyé dans ses mains. Je respecte cette instant d'émotion, je la regarde de loin. Un couple italien la console. Ôda me demande de passer les glaçons sur elle. Je le fais, et je vois ses bleus. 




/// photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis



PetGirl II


Nawa-kin bound me standing, a harness around my breasts & waist, arms attached upwards, with a provocative rope leading down the crack of my ass, binding my thighs. I stand facing the mirror as Ôda snaps some photos. Sometime later, Nawa-kin unbinds my thighs, leaving a long length of rope as a leash from the harness. They both delight in playing with me, giving me Doggy orders — Down ! Beg ! Assis ! Couché ! Au pied ! — and I playfully enact them, yelping from time to time. Finally I'm told to lie, so I curl up on the rug. Nawa-kin sits holding the leash, but as she doesn't feel comfortable as a Domina, she sits on the floor next to me. I lie looking up from the floor, this different perspective amusing me as I see Jade crawling by, the perspective of her body going towards Julien, the porno projection on the wall behind them. I'm totally absorbed in this vision, enjoying this perspective, when the leash is masterfully tugged by the Marquis who orders me onto all fours. Perhaps he also grabs a handful of my hair as I obey. His stealth & his commanding pull on the leash arouses me. Equipped with the triple badine, he begins to strike me, the marks from my previous punishment still visible. He continues longer & more strongly than before as I cry & whimper. The intensity mingles with the waves of pleasure until this complex mixture makes me fall almost sobbing into Nawa-kin's arms. A moment of abandon, almost releasing totally, emotionally right on the edge. I don't remember if Mast'Her consoled me afterwards — perhaps he did — just remembering the emotion rising up my chest uncontrollably, pain & pleasure mingling, just falling into my sister's arms.

Nawa-kin confides that's she's jealous of the badine — but not for long, as we're taken later to a corner, as I sit on a stool, my legs wide open straddling her shoulders as she leans on me, on all fours. As Mast'Her uses the badine, more strongly & longer than with me, as the intensity increases, her chest falls towards the ground, she's holding onto my ankle with both hands. I watch as he grabs the inner part of her ass with both hands, pinching & twisting it. The mystery of this impulse, her moans so loud that I know it must really hurt as he continues to press & knead until there's visible bruises when he releases his fingers. (My thoughts racing madly : why is he doing this ? will he want to do this with me ?) Afterwards he consoles her, taking her into his arms, stroking her head as she sobs... he sits in a chair & she kneels between his legs. He leaves to answer the door, she's left there before the empty chair, sobbing, her head in her hands. I respect her moment of emotion, watching from afar. An Italian couple sitting next to her consoles her. Then Ôda tells me to rub ice over her. As I do this, I can see the bruises.



/// photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis