Tuesday, May 30, 2006

... suite Entrevue n° 6



Subject: Re : Entrevue n° 6
Date: Tue, 30 May 2006 15:43:04 +0000 (GMT)



Ta relation, ma princesse, m'a fait revivre ces moments intenses... Je n'ai plus qu'à ajouter, pour parfaire cette remémoration, les sensations que j'ai eues et que tu ne peux forcément pas connaître...

La douceur de ta peau... Quand je caresse ton visage en te découvrant, quand je caresse tes cuisses et tes seins.

La chaleur que tu irradies : lorsque je presse tes hanches sous ta jupe en latex, j'éprouve la souplesse érotique de ta chair, tout en ressentant ta chaleur, avec encore plus d'acuité que si tu avais les fesses nues.

Ta féminité exacerbée, lorsque je t'ai possédée. Tes râles d'excitation m'ont fort troublé. Il en va de même de tes cris de réprobation lorsque tu t'es plainte de ma brutalité lorsque j'ai voulu te posséder par ton cul. Je sentais la souplesse de ton orifice dont tu me refusais l'accès. J’étais vraiment excité à l'idée de te violer et cette situation constituait vraiment la réalisation d'un fantasme, il s'agissait d'un viol.
Mais je ne regrette pas de m'être arrêté. Cela m'excitait réellement d'éprouver ta soumission en te rudoyant mais j'ai eu vraiment peur de te blesser pour de bon et tel n'est pas l'objet de nos entrevues...
Je veux que tu ressentes dans tes chairs ta condition de femelle soumise, sur le moment en endurant tes supplices humiliants et après, en repensant aux actes monstrueux auxquels tu prêtes ta dignité, pensées suggérées par la vision récurrentes des stigmates de tes tourments, ainsi que par les douleurs que tu éprouves les jours suivants... Mais pas plus... Et j'aimerais tant battre le fer tant qu'il est chaud, venir te voir, te punir rudement, profiter de ton corps et de ta soumission puis revenir le lendemain ou le surlendemain pour te punir de nouveau et faire de toi une esclave totalement aliénée à tes désirs de soumission, dusses-tu en souffrir durement, en recevant des punitions sur des chairs déjà marquées de fraîche date.
Je t'en sais capable et cela m'excite prodigieusement, ma princesse.

Je t'embrasse, et désire ardemment venir goûter le parfum enivrant de ta féminité soumise.

Tuesday, May 23, 2006

l'Amour



(`'·.¸(`'·.¸*¤*¸.·'´)¸.· '´ )
«´¨..¤ pure love ! ¤..¨`
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photo © Franck Ancel

Tuesday, May 09, 2006

Chatte fouetée

Envoyé le : Mardi, 9 Mai 2006, 10h38mn 57s
Objet : marquages

 

Ma princesse,
[…] Tes dédicaces me plaisent encore plus lorsqu'elles sont teintées d'autopunition... J'ai adoré tes messages d'évolution de marques de ton supplice... J'aimerais les voir en réel, et les corriger lorsque je trouve qu'elles sont asymétriques ou pas assez démonstratives de ta soumission...

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Mon Phallus,
Concernant ma chatte fouettée, tu avais l'air déçu qu'elle ne semble pas plus marquée, pas plus rouge écarlate. En fait, cela a bien changé la coloration, que je constate maintenant que ma chair si tendre est redevenu rose pale et ma peau laiteuse. Pendant ces quatre derniers jours, la coloration était plus rose sombre, un peu violacée, et mes cuisses une couleur plus jaune... et mon anus un peu bleuté... Je me rends compte maintenant... véritable fleur changeant de couleur.

Concernant mon mail sur ma dédicace, quand je l'ai relu hier soir, j'avais un peu honte de t'avoir écrit si en détail des choses que je me fais... Tu sais, toute ma vie les hommes me demandaient de raconter mes fantasmes, de décrire comment je me masturbais, et je ne voulais jamais dévoiler ces secrets. Now that I've opened myself to you, somehow I want to share these details with you. But still, I feel a bit embarrassed... when I read the dense/intense words depicting the actions, the emotions... ooohhhhh....
I imagine your pleasure looking at these marks that you've made on my body... and the way you write that makes me feel so dominated, from afar.

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Ma princesse,
En ce qui concerne tes marques, je t'avoue être un peu frustré... Tu marques visiblement à retardement, ce qui me prive, au terme de nos entrevues, du spectacle troublant de ta féminité outragée, de ta chair marquée... Lorsque je t'ai laissée, la dernière fois, tes fesses, tes cuisses, ta chatte, tes seins, portaient de très légères marques, à part celles de la cravache sur tes fesses, en tout cas, rien à voir avec le spectacle très érotique de tes chairs sacrifiées sur l'autel de la soumission sexuelle, dont tu m'a offert la vision par les photos que tu as prises... la photo de ta chatte, dont on devine l'innocente douceur, ainsi que le feu qu'elle a subi en considérant le bleu à côté, est super-excitante...

Au sujet du délicieux mail que tu m'a écrit, me décrivant le détail de ce que tu a fait pour te donner tout ce plaisir pervers, je te supplie de ne pas t'arrêter au nom de je ne sais quelle pudeur. JE te veux totalement ouverte. Tu dois non seulement obéir à tous mes désirs, lorsque je suis là ou lorsque tu penses à moi, mais en plus ne faire aucun secret de tout ce qui te procure du plaisir. Je te demande de me décrire encore la manière dont tu te masturbes, dont tu te caresses ou te tortures jusqu'à la jouissance.

Je te demande aussi de me décrire ce qui te passe par la tête dans ces moments-là... la manière dont tu ressens ces stimulations, physiquement bien sûr mais aussi sur le plan de la morale, si tu as parfois honte de ce que tu fais... J'adore les femelles honteuses, qui ne peuvent s'empêcher de faire les choses qui leur font honte... C'est pour cela notamment que j'aime te mettre devant le miroir, pour que tu te voies en train de supporter l'insupportable, pour que tu prennes le recul te permettant de bien voir à quel point tu es dans ces moments là une femelle soumise. Dans un futur que j'espère proche, je veux te faire sentir cette honte, en te faisant réaliser ta soumission dans le regard des autres... je suis mort d'excitation en t'imaginant fouettée, humiliée, multipénétrée, sous le regard d'une fille, regard dans lequel tu pourrais lire toute la commisération du monde, teintée de désir...

En attendant, j'ai une envie folle de te fouetter encore la chatte, comme prélude, si tu le mérites, à ce que je te sodomise brutalement, comme doit l'être une femme soumise.

Je t'embrasse, ma princesse perverse.



Friday, May 05, 2006

Entrevue n° 6 - Sex & punishment

You enter, and I excitedly look into your eyes, savouring the tenderness of your kiss as you lock the door behind you. I turn to precede you into the bedroom, and kneel onto the bed as you order me to do. All the toys are lined up on a tray, as well as some king-size condoms; the cravache placed beside me on the bed. The tension mounts as you lightly kiss my thighs, my pussy... your hands feel & press my hips thru the latex, almost trembling. I hear you unzip your pants & reach for a rubber, putting it on your rigid sex. Will you penetrate me, or sodomize me ? I hope that you've noticed the boules de geisha, but the ring has slipped inside me. I don't want you to plunge into the metal with the tip of your cock, pushing the balls too far into me, so I warn you : "Attention, j'ai mis des boules de geisha". I try to pull out the ring, but it's too deep, so you have to fish for it, very slippery territory !

You plunge deep into me, spanking my ass as you enter — the power makes me cry out and as you fuck me, I flatten onto my belly, moaning. I can feel you deep inside, up to my belly. You flip me over, reaching for some gel that you put on my ass. You hold my legs in the air & your cock is like a vertical rod about to plunge into me, it pulls as you start to penetrate me & I cry out : "attends !". You add more gel, but my ass doesn't open before your incredible cock, it hurts, so I cry out again : "attends, attends, attends ! Il faut trouver le bon angle !".
You're indignant as you reply : "Trouver le bon angle ? ! Je te montrerai le bon angle !", and you flip me over to punish me with the cravache. I'm so ashamed, as I do desired to be possessed by you.
The rest is a bit in disorder ... sucking & licking you as you kneel over me, fessée avec la ceinture, pinces sur le sexe, pinces japonix sur les seins... you put an object into my ass, to open it & to punish me, the silicon geisha balls in my cunt... you bring me to the mirror, the gode falls out with a thump. You have me watch as you raise my skirt a bit and point to my sex with the cravache... and as I already wrote you :

Je nous voyais devant le miroir, quand tu m'as dit "Tu ne peux pas être plus sexy que ça", en me touchant mon sexe exposé avec le bout de la cravache. Je me suis vue avec ces pinces — j'avais un léger aspect punk avec la chaîne... et je les trouvais bien authentique.
Et puis le mystérieux intensité quand tu m'as serré la poitrine avec tes bras... si fort, comme si tu voulais me posséder entièrement, de rentrer dans ma peau... tes yeux deviennent noir du désir... et ma poitrine ainsi serré me faisait penser à des corsets XVIII° siècle...


And was it then that you undressed ? That you took the pinces off my sex, my tits, kissing them as the skin was liberated ? Later reddening my breasts with the cravache ? 


Lying on the bed, you order me to lick you. I give you all my devotion and love as I lick you up the neck and ear... the sweet slow music a melody of my adoration... and my tongue licks all down one side to your cock, your balls that I lick & suck... and down under into the fur, finding that delicious orifice... you spread you legs so I can go further, then flip over so I can really kiss your rosy ass, lightly plunging my tongue into your orifice that is so tender... you're incredibly excited, holding your dick with both hands below your stomach.

Maybe you spank me again... but we lie on the bed together, my head on your shoulder... and you order me to repeat "Je suis ta soumise" twice. I would gladly say it three times. "Je te dresse," you say, getting up, throwing a pillow onto the floor, commanding me to kneel before you & suck your huge cock, pushing it deep into my mouth. Then you spank me again with your belt... I'm lying next to you... and I look up & say "T'es sévère avec moi !".  You reply " Tu l'as mérité ou pas ?" I say NON, and you slap me on the hip really hard with your belt. You ask me "C'est sévère ou juste ?", I reply "Sévère !" and you strike me again. I look into your eyes, asking "T'es vraiment faché avec moi ?"... you answer "Non, c'est un jeu — il faut que tu désobeisses parfois, sinon ce n'est pas drôle !"

You get to my real punishment : ma chatte fouettée. You order me to spread my legs in the air as you whip me with the cravache & belt, spreading my ass with my hands so you can whip the top of my thighs... and then my pussy... so much that I cry out "I'm sorry, I'm sorry, I'm sorry !". You reply : "C'est trop facile de dire que t'es désolée !" and you continue even more with your belt, as I cry. You examine your work & seem disappointed — you mention that the color is about the same, as if nothing had happened. As I later wrote :

Concernant ma chatte fouettée, tu avais l'air déçu qu'elle ne semble pas plus marquée, pas plus rouge écarlate. En fait, cela a bien changé la coloration, que je constate maintenant que ma chair si tendre est redevenu rose pale et ma peau laiteuse. Pendant ces quatre derniers jours, la coloration était plus rose sombre, un peu violacée, et mes cuisses une couleur plus jaune... et mon anus un peu bleuté... Je me rends compte maintenant... véritable fleur changeant de couleur.

How this ends, I'm not sure, I think you laid on top of me, kissing me to console me. As I write this I realize that I'm not sure how one thing leads to another — it just flows with so much emotion. You notice that it's getting late, and deny yourself an orgasm. You decide to shower, which surprises me... intimacy... washing off any perfume...


As you dress, I watch, saying "tu m'as vraiment puni !", and you retort : "Oui ! J'avais frôlé la mort, et tu me fais des menaces; je veux t'honorer et tu m'ouvres pas tes fesses, comme une vierge effarouchée quand ça tire un peu !". And I can only admit that you're absolutely right.
We sit in the salon as you smoke your cigarette, and my eyes caress you... and you catch my gaze... "Tu lis dans mes pensées ?", you reply "Non, il faut garder le mystère," as you hold my hand… and I kiss yours, slowly sucking on each finger... until it's time for you to leave.


— with Phallus —



Dédicace — before

Envoyé le : Vendredi, 5 Mai 2006, 12h36mn 32s
Objet : Dédicace (before)


Mon Phallus_adoré,
J'ai adoré que tu m'as empêché de continuer ma phrase au téléphone, pour une fois... toi qui as commencé avec "Tu as fais des cochonneries aujourd'hui ?" ... qui voulais savoir ... les pensées impures ... à mon sujet... alors que ma vulve a gonflé au son de ta voix, et mon pauvre petit clitoris se trouvait tout seul dans l'étang si liquide... mon doigt subtil et expert est allée le secourer... alors, trop tentant comme image ? Toi, qui aimes te maîtriser jusqu'au dernier moment ... si bien élevé ... hmmmm...

Alors, ce soir je me laisse champs libre avant de me coucher. Voici le scénario de ma dédicace en ta faveur :
Nous sommes trois. Tu m'as fouetté, il m'a fouetté, toutes ces préliminaires excitantes de ma soumission sont bien établis selon vos désirs et sous ta maîtrise. Alors, maintenant c'est ton tour. Je me place derrière lui pour le voir te pénétrer à quatre pattes, je vois tes yeux, tes réactions dans la glace devant toi. Je t'entends crier ! Et je regarde bien ton orifice, son sexe te pénétrant avec force, les va et viens... et je te caresse les cheveux, je te morde l'oreille, je t'embrasse avant de te caresser le sexe, me baisser pour lécher tes couilles qui se mêlent avec les siens, je me glisse sur mon dos pour te prendre dans ma bouche, pour voir le spectacle humide et fauve sous mon nez... et je ne sais pas si je pourrais tenir, comme avec chaque coup de reins, tu t'enfonces encore plus loin dans ma bouche... et je me glisse, je remonte sous toi, et je t'embrasse, je glisse ton sexe dans le mien... je te taquine tes tétons, t'es bel et bien dans un sandwich, lucky you ! et nous jouissons tous ensembles.
Avant, ou après, tu m'attaches à quatre pattes, et tu me prends par ma chatte, mon cul... et ensuite il te pénètre, nous sommes comme trois chiens liés... ou bien, vous me prenez tous les deux par une orifice... Quel bonheur !
J'espère que tu lis ce message avant ta douche, et pas avant une réunion avec ton directeur... et bien avant de venir me voir pour que tu fasses gaffe à chaque coin de rue...

je t'embrasse avec beaucoup d'insolence,
ta princesse_garce


///
Subject: punition...

Ma princesse...

J'ai gardé les couilles douloureuses tout l'après-midi... j'ai failli jouir dix fois, tout à l'heure, dans ta bouche, dans tes mains, dans les miennes lorsque tu m'explorais de ta langue... Maintenant ça va un peu mieux mais en début d'après midi, j'avais du mal à me concentrer et je pensais et repensais aux moments que nous avons vécus ensemble...

Tu n'es pas trop marquée ? Je ne t'ai pas trop abimé ta chatte ? A un moment, lorsque je te cravachais les lèvres, j'ai eu l'impression de m'approcher de ta limite. Etait-ce le cas ?

J'ai adoré tous ces instants.
Je t'embrasse