Sunday, December 21, 2008

Global Orgasm 2008


Global Orgasm 2008

It's not too late !
Just get it on with yourself & maybe someone else.
Anytime between 11h — 13h
Let those good vibes move the planet
& be tracked at Princeton

juicy kiss**
*X*



Saturday, November 29, 2008

Carlito Go Home !

J'étais furieuse quand j'ai vu la récuperation
de la campaign d'Obama par Sarkozy !

Cela m'a vraiment écoeuré ! Quelle honte !



I was furious when I when I saw these posters
imitating the Obama campaign by Sarkozy.

It made me sick ! What an outrage !





Wednesday, November 05, 2008

Obama : November 4, 2008

Obama
November 4, 2008



***
The first time I ever saw a black person, I was about six years old. Negroes they were called then. I might have seen them on TV, tap dancing slaves in a Shirley Temple movie, but this was the first time I had seen a real person. My grandmother took me to a big department store in Oakland, the Emporium. I think she was buying some of her red lipstick.
As I waited, I saw a middle-aged woman at the counter, putting light-colored powder on her dark skin that was already heavily pancaked. She looked so strange, and it was incomprehesible to me why she would be so heavily made up. Much later it became clear to me that she hated her dark skin & wanted to look white.

This was in the late 50's or early 60's.

As I grew older, the abstract world of adults became filled with curious events : bussing Negro children to white schools, Civil Rights marches, both Kennedys assassinated, as well as Martin Luther King — the government spun obvious lies as a smoke-screen.

Later in the 60's, the Black Panthers roared out of Oakland. Black is beautiful, power to the people... and Reagan was Governor then, clamping down on hippies and threatened by these new dark powers.

I arrived in Paris in 1980, as a political refugée just when Reagan was elected President. Watching from afar, all Presidents failing, most of them corrupt liars & war-mongers.

Today, I'm honored to have cast my vote for Obama.
Today I'm proud to be an American.
Skin-color blurs.

***

La toute première fois que j'ai vu une personne noire, j'avais environ six ans. Nègres, comme on les appelait. C'est possible que je les ai vus à la TV, des esclaves en claquettes dans un film de Shirley Temple, mais là, c'était la première fois que j'ai vu une personne réelle. Ma grand-mère m'a emmené dans un grand magasin à Oakland, l'Emporium. Je crois bien qu'elle voulait acheter son rouge à lèvres. Tandis que je l'ai attendu, j'ai aperçu une femme d'une certain age au comptoir, mettant de la poudre claire sur sa peau matte qui était déjà lourdement fardée. Elle m'a semblé si étrange et c'était incompréhensible pourquoi elle serait si lourdement fardée. Beaucoup plus tard j'ai compris qu'elle a détesté sa peau matte et a voulu sembler blanche.

C'était à la fin des années cinquante ou au début d'années soixante.

Je grandissais et le monde abstrait d'adultes s'est rempli d'événements curieux : les petits Nègres en ramassage scolaire aux écoles blanches, des marches de Droits civils, les deux Kennedys assassinés, aussi bien que Martin Luther King — le gouvernement a filé le mensonge comme un rideau de fumée.

Plus tard dans les années soixante, les Panthères Noires rugissant d' Oakland. Black is beautiful, power to the people... et Reagan était le Gouverneur, prenant des mesures autoritaires contre des hippies et menacé par ces nouveaux pouvoirs sombres.

Je suis arrivée à Paris en 1980, comme réfugiée politique juste quand Reagan a été élu Président. J'observais de loin tous ces Présidents à l'échec, la plupart d'entre eux des menteurs corrompus et des bellicistes.

Aujourd'hui, je suis honorée d'avoir envoyé mon vote pour Obama.
Aujourd'hui je suis fière d'être une Américaine.
La couleur de la peau devient floue.




Thursday, October 16, 2008

chez Brancusi, encore










circa 2005 (is this still true ?)


...............+...........
....



... Rocambolesque ... et burlesque


ø?º°''°º?ø,¸¸,ø?º°''°º?ø ,¸¸,ø?º°
''°º?ø,¸¸,ø?º°'' °º?ø,¸¸,ø?º°''°º?ø,¸¸,


... je rêve l'éternelle
je construis l'éphemère;
je vis dans la fraîcheur
des tempêtes

*
... j'ai fait des soubresauts
et des pirouettes,
avant de devenir pyromane,
voir soubrette ...

++
+



Obama for the Marquis Noir


Obama '08 - Vote For Hope from MC Yogi on Vimeo.

Saturday, August 23, 2008

Thursday, August 21, 2008

Au buro, à la cantine, le mois d'août



On dirait une photo obscène, mais non !
Ce sont les ptérygopodes immatures d'un requin mâle.
Pour tout comprendre sur les copulations violentes de ces poissons :http://www.dinosoria.com/reproduction_requin.htm



Il vaut mieux être un mâle, je dirai... quoique ...
(pourquoi on a parlé de ça ? Le soleil des vacances, la plage ....)

Sunday, August 10, 2008

une vraie princesse



photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis


en échange de bon procédé




Pour ses pensées si douces et généreuses,
j'offre cette magnifique poupée Voodoo égyptienne à Hell Liza.

*X*



The Louvre voodoo doll, Egypte II-III century AD © Musée du Louvre

protocole bis

At the table, I sat across from Mast'Her like I usually do. Except that he doesn't want to be my Mast'Her anymore.
At Mario's, the bruschetta arrive & Mario hands them to me like he usually does, Ôda hands me the plates. It's natural that I serve & Mast'Her seems content.
A small pleasure, a sign of affection.

The food arrives & I hold the bowl of parmesan in both hands, I offer it to him.
He's about to take some when Hell Liza grabs it out of my hands ! I'm astonished by her aggression ! Surprised, Mast'Her says "Elle était bien comme ça". She stammers "Elle m'empêche de faire mon devoir". He says "Je n'ai pas aimé ton geste brusque" or "Ton geste était brusque".
And he gives the bowl back to me so that I can offer it once more.


///

À table, je m'assois en face de Mast'Her, comme d'habitude. Sauf qu'il ne veut plus être mon Mast'Her.
Chez Mario's, les bruschetta arrivent et Mario me les passe, comme d'habitude, Ôda me passe les assiettes. C'est tout à fait naturel que je fasse le service, et Mast'Her me semble content.
Un petit plaisir, une signe d'affection.

Les plats sont servis, et je tiens le bol de parmesan avec mes deux mains, je l'offre à lui. Il commence à s'en servir quand Hell Liza l'arrache de mes mains ! Je suis incrédule devant cette agression. Surpris, Mast'Her lui dit "Elle était bien comme ça". Elle bredouille "Elle m'empêche de faire mon devoir". Il réponde "Je n'ai pas aimé ton geste brusque" ou "Ton geste était brusque".


Et il me rend le bol de parmesan pour que je puisse le lui offrir de nouveau.

Friday, July 25, 2008

Fist, Part II - VF





Je suis arrivée à l'ouverture, à 15h, pour aider avec l'anniversaire d'Ôda.
Après avoir servi la champagne et le gâteau, je regardais du comptoir les gens dans le salon. J'entends le Marquis Noir dire à Hell Liza qu'elle puisse dominer jusqu'à 18h30. Je l'observe pour voir ce qu'elle va faire, et elle se tourne vers moi.
Elle attrape mes nichons, elle les pincent fort. Je ris, je m'écarte un peu, ma réaction spontanée habituelle qui ne plaisait pas à Mast'Her. Je remarque que je ne dois pas rigoler ainsi, mais j'ai du mal à m'empêcher lorsqu'elle me pince, qu'elle me tord, la joie dans ses yeux. 
Le Marquis vient lui demander comment ça se passe. Elle lui réponde "Bien mais elle fait un peu du cinéma". Il me regarde, me disant "Je ne lui ai rien dit..." Moi, une telle actrice à ses yeux !
Elle décide que je dois être baillonnée, elle demande du scotch. Du scotch large et blanc qu'elle enroule autour de mon visage, mes cheveux, ma bouche.
Bizarrement, j'aime cette restreinte.

Elle se régale à me pincer et à gifler mes seins. 

Elle me demande de me retourner, de m'appuyer contre le comptoir, les jambes écartées, le dos bien cambré.
Elle me fesse; ensuite elle me demande s'il y a un problème qu'elle me griffe. Je l'accord, comme je n'ai jamais éprouvé ce genre de chose — et je le regrette immédiatement quand elle fait des longues et larges griffures avec ses ongles comme une harpie sur tout mes jambes et mon dos, des plus petites griffures d'animale sur mes fesses.

Elle écarte mes jambes et commence à me doigter, mais il lui dit de mettre un gant avec du gel.
Cela la froisse un peu. Comme elle doit utiliser cette protection, elle décide de déplacer la scène à l'étage, elle se trompe presque quand elle prend le savon liquide antibacterien au lieu du gel ! (au secours !)

Je m'allonge sur le lit, et elle commence à travailler, me doigter, me pénétrer. Cela me semble plus familier que mon exploration de sa foufoune, comme j'ai ressenti ces gestes plein de fois avec mes amants.
Quelques hommes nous observent. Quelques-uns essaient de participer, mais elle les chasse avec sa main. Sauf "l'ange blanc", le soumis à la Domina Belge, il me suce le nichon. J'avais joué avec lui plus tôt dans la soirée, quand elle l'avait couvert du chocolat. 

Je gémisse, elle s'en fourre, le plaisir commence à monter. Elle s'enfonce pleinement, ça me fait jouir, frissons.

Quand c'est terminé, je lui demande si elle a mis entièrement sa main. Oui — jusqu'au poignée. Je me suis dit que je devrais avoir été déjà fisté par mes amants sans le savoir.

Fist, Part II


I arrived early at 15h, so that I could help out with Ôda's birthday.
After serving the cake & champagne, I stood at the counter watching the crowd. I hear the Marquis Noir tell Hell Liza that she can dominate until 18h30. I watch to see what she will do, & she turns to me.
She reaches out for my tits & pinches them hard. I laugh & move away, my usual spontaneous reaction that Mast'Her didn't like. I comment that I shouldn't giggle, but I have a hard time refraining, as she pinches & twists, a look of glee in her eyes.
The Marquis comes over to ask how it's going & she says "Bien mais elle fait un peu du cinéma". He looks at me, saying "Je ne lui ai rien dit..." Me, such an actress in his eyes !
Then she decides that I should be gagged & asks for some tape. Large white tape that she wraps around my face, my hair, my mouth.
Somehow, I like this restraint.
She then delights in pinching & slapping my tits.

She tells me to turn around & lean against the counter, my legs spread, my back arched.
She spanks me, then asks if there's any problem if she scratches me. I say it's ok — since I've never done this before — & immediately regret it as she makes long sweeping slashes like some kind of harpy with her nails all down my legs & back, small animal-like scratches on my ass.

She spreads my legs & starts to finger me, but he comes over, telling her to use a glove & some gel.
She's a bit miffed. Since she needs this protection, she decides to move the scene upstairs, almost taking the antibacterial handwash instead of the gel ! (au secours !)

I lie back on the bed & she goes to work, fingering me, going inside.
This seems more familiar than my exploration of her pussy, as I have felt this many times with lovers.
Some men enter the room, watching. A few try to participate, but she shoos them away. Except for the "White Angel", le soumis à la Domina Belge, who sucks my tit. I had played with him earlier when she had covered him with chocolate.

I moan as she goes deeper, my pleasure rising. A full thrust makes me come, shivering.

When it's over, I ask her if she had put her whole hand in. Yes — up to her wrist.
I thought, well, then I must have been fisted before by my lovers without knowing it.

Friday, July 18, 2008

a Rose in a fisted glove - VF



" Il y a des gants et du gel sur le comptoir, si tu veux approfondir ..."


Je l'avais regardé travailler les seins volumineux de Liza, en les malaxant, les écrasant. Je le regardais, et je me suis projetée dans le scène, qu'il fasse la même chose avec moi. La torture érotique, vers l'évanouissement.
Il m'offre un nichon, je le mordille, je le suce, je le mords pour l'intensité.

Quand il a fini, il me dit de prendre soin d'elle, comme il m'a déjà dit pendant que je servais le champagne pour l'anniversaire de Roman.

Je savais ce qu'il désirait, ce qu'il avait envie que je fasse.

Elle s'assoit dans une chaise, les jambes bien écartés, & j'ouvre les couches multiples de ses jupons, comme la petite bergère Jeanneton — je caresse doucement son clitoris, et je glisse mon doigt plus bas. 

Deux admirateurs masculins nous entourent.

Il décore les bout de ses nichons avec la crème et des cerises du gâteau, il invite un des admirateurs de le lécher. Puis, il me suggère les gants en Latex.

J'y glisse ma main, je l'inonde du gel, je commence à caresser et à plonger dans cette territoire inconnue.
Je sens la crête de son os pubien, la force de ses muscles. Encore plus profonde, je sonde, je la regarde dans les yeux pour voir ses réactions qui me semblent d'être du plaisir. Je cherche le point-g, je la sonde... je rajoute un doigt jusqu'à ma main s'y glisse.

Je n'aime pas toucher l'intérieur de quelqu'un, et je suis contente de porter ce gant noir en Latex. 

J'appuie mon poignée contre l'autre main, et subitement je ressens une alignement de rigidité, de mon coude aux bouts de mes doigts. Mon bras me semble indépendant, comme une machine ou un instrument — et j'imagine que je ne pourrai pas m'approcher plus à une érection.
Mon bras est comme une bite. L'odeur humide de foufoune.
L'alignement de rigidité.
Sachant qu'il veut que je vis cela.

Envie de donner du plaisir, pas envie qu'on me touche en même temps.
Envie de donner du plaisir, comme pour une fellation, la même chose.
Pas de sentiment du pouvoir ni de la domination. Le don de soi.

Quand je me lève, mes cuisses sont maculés de mon excitation, elles glissent quand je marche. 

a Rose in a fisted glove



" Il y a des gants et du gel sur le comptoir, si tu veux approfondir ..."

I had watched him work Liza's voluminous breasts, kneeding & squeezing them. As I watched, I projected myself into the scene, that he would do this to me. Erotic torture, going into a swoon.
He offered me a tit which I nibbled & sucked, biting it for intensity.

When he was finished, he told me to take care of her, just as he did when I offered the glasses of champagne for Roman's birthday.
Somehow I had a feeling of what he had in mind, what he wanted me to do.

She sits in the chair, legs spread apart, & I push away the many layers of her petticoat & bloomers, like Little Bo Peep — I gently stroke her clit & slide my finger down.

Two male admirers are on each side.

He decorates her tits with whipped cream & cherries from the cake, inviting one admirer to lick them off. Then he suggests the Latex glove.

I slip it on & slather it with gel, then begin to stroke & plunge into this unknown territory.
Feeling the ridge of her pubic bone, the strength of her muscles. Going deeper, probing, looking into her eyes to see her reaction... it seems to be pleasure. Reaching for the g-spot, plunging, probing... adding a finger until finally my fist goes inside.

I don't like to touch the inside of someone, happy for the black Latex barrier.

I hold my wrist with my other hand to support it & I suddenly feel an alignment of rigidity, from my elbow to the tips of my fingers. My arm seems separate like a machine or an instrument — and I imagine that this is about as close as I could get to feeling an erection.
My arm is like a cock. The pungent mingling smell of foufoune.
The alignment of rigidity.
Knowing that he wants me to experience this.

Intent on giving pleasure, not wanting to be touched at the same time.
Intent on giving pleasure, like when I do fellatio, the same.
Not feeling power or domination. Giving of myself.
Yet when I rise, my thighs are smeared with my excitement, they slide together as I walk.


Monday, July 14, 2008

Électron libre


"Elle a reprise sa liberté".
Ce que j'ai entendu.
Ce n'est pas ce que je cherchais,
mais c'est le conséquence de tous mes actes,
mes paroles et mes attitudes depuis huit mois.
Et je le regrette profondément.


///

Free electron

"She has taken back her freedom".
This is what I heard.
This is not what I was looking for,
but it's the consequence of all of my acts,
my words and my attitudes of the last eight months.
And I deeply regret it.

Thursday, July 03, 2008

Frida Kahlo at the SFMOMA

Self-Portrait with Thorn Necklace and Hummingbird, 1940



The Broken Column, 1944


Self-Portrait with Monkeys, 1943


Tuesday, June 03, 2008

so hard ...



... it's so hard for me right now,
without explaining why...


Will describe this later.






Sunday, May 25, 2008

rouge & noir


kisses to my sister
*X*



photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis

Sunday, May 11, 2008

Quand je vous ai vu, j'ai tremblé.

Monsieur Keita, at the back of the 60 bus.
I'm on my way to see a friend, sitting at the back of the bus. I'm a few stops away, & I press the button & take off my iPod earphones.
The black guy sitting near me says : Vous êtes bien bronzée.
That makes me smile, as he has very black skin & I'm not tan at all.
Of course, he wants to have a drink, but when I tell him I have a rendez-vous, he says : Ah, qu'il a de la chance ! Il faut qu'il prenne bien soin de vous, sinon, il va perdre un diamant ! Quand je vous ai vu, j'ai tremblé...
He takes advantage to touch my bare shoulder, his eyes are luminously bewitching, like a snake or a marabout.

09.05.08

I loose myself in your eyes, their amazing color penetrating me, almost hypnotic. My eyes blur & lightness fills my head as you squeeze & pinch my tits, your fingers pressing so hard, in, out, in ways I'd never imagined, as if I'd been waiting all my life for this moment without knowing it.
You press my nipples in & out, creating intense points where pain meets pleasure. I wince, & you continue, manipulating in other ways. My eyes never leave yours, I don't even notice the flash of the camera. I offer myself to you as you slap & spank my breasts.
My eyes blur, I'm dizzy & the desire to kiss you lingers, but I just draw in the suspended breath.
I catch a sadistic glint in your eyes, just when the bell rings, & I wonder what the next step would have been.Slight bruises from your fingers that pressed so deeply into my flesh.


09.05.08

Je me perds dans tes yeux, leur couleur incroyable me pénètre, c'est presque hypnotique. Je vois trouble et ma tête tourne quand tu palpes et pinces mes seins, tes doigts qui me pressent fort, si fort, les enfonçant, me tirant comme je ne l'avais jamais imaginé, comme si j'avais attendue toute de ma vie pour ce moment, sans le savoir.
Tu pinces mes tétons, les enfoncent, les tirent, cela crée des points intenses, à la frontière de la douleur et du plaisir. Je grimace, et tu continues, les manipulant de toutes sortes de façons. Mes yeux ne quittent pas les tiens, je ne remarque même pas le flash de la photo. Je m'offre à toi lorsque tu gifles et claques mes seins.
Je vois un lueur sadique dans tes yeux, juste au moment qu'on sonne à la porte, et je me demande quelle aurait été l'étape suivante.

Des traces bleus de tes doigts qui se sont enfoncés dans ma chair.

Monday, May 05, 2008

as a young ice-skater / en jeune patineuse



*
I didn't last too long, as the ice gave me a headache.
Cela n'a pas duré longtemps, comme la glace
me donnait mal à la tête.




Dr. Cook, pédiatre


Dr. Cook, pédiatre
A handsome dark-haired man with 3 adorable platinum blonde daughters in my school.

My mother would sit in the waiting room during my check-ups. I suppose I was about 8 years old, & I also had long platinum blonde hair.
The visit would proceed in the usual way — stethoscope, etc — until at the very end, he would ask me to drop my white panties down to my ankles as I was told to lie back on the table, my knees over the edge, legs spread apart. I would hear the sound of a small thumb rubber — perhaps I even watched as he put it on his thumb — I remember how strange it seemed.
He would tell me to look up at the round reflective mirror strapped around his head, as he pushed his thumb into my vagina, pressing his other hand on my abdomen, I suppose ostentatiously feeling if my ovaries were developing properly.
These gestures made me want to pee, but it was exciting & pleasurable at the same time, so surprising a sensation.
Seeing his face, his eyes looking into mine, looking up at the mirror, feeling his thumb penetrating me.
Oddly enough, these examinations stopped once my pubic hair began to grow.




Dr. Cook, pédiatre
Dr. Cook, pédiatre. Un bel homme aux cheveux noirs, père de 3 filles adorables aux cheveux platines, écolières dans le même établissement que moi.
Ma mère restait dans la salle d'attente pendant mes visites. Je crois que j'avais 8 ans, avec des longs cheveux platines, moi aussi.
La visite se passait comme d'habitude — stéthoscope, etc — sauf qu'à la fin, il me demandait de glisser ma culotte blanche autour de mes chevilles, me disant de m'allonger sur le dos, les genoux au bord, mes jambes écartées. J'entendais le bruit élastique d'une petite préservatif pour la pouce — c'est possible que je le regardais le mettre sur sa pouce — je me souviens que cela me semblait étrange.
Je regardais le miroir réflecteur et ronde sur le bandeau autour de sa tête, comme il me le demandait, pendant qu'il insérait sa pouce dans mon vagin, l'autre main pressant sur mon abdomen, je suppose qu'il vérifié que mes ovaires se développaient normalement.
Ces gestes me donnaient envie de pisser, mais c'était excitant et agréable à la fois, des sensations tellement surprenantes.
Son visage, ses yeux qui regardaient dans les miens, je regarde le miroir sur sa tête, je sens sa pouce me pénétrer.
Bizarrement, ces examens s'arrêtaient quand les poils pubiens apparaissaient.

The Yardstick


A memory from when I was about 4.

///
Giggling in the dark with my sister Janet, we were both very young, maybe 3-4 years old. A vision of the light coming into the room, a white triangle of light as the door opened, the tall black silhouette of my father.
And the strike of the yardstick very hard on my bottom. Crying.
Apparently we'd been told to go to sleep & our giggling had upset him. We had a joke, a silly joke of a 3 year old, something like : where's the nut in the peanut ?
What tension & anger & stress my father must have been in to so punish his two little girls giggling in the dark ?

Later I asked him about the yardstick. He said that Grammie used it on him when he was little.




Le mètre en bois

Un souvenir de mes 4 ans


///
Petit fou rire dans le noir avec ma sœur Janet, nous étions très jeunes, autour de 3-4 ans. Une vision de la lumière qui entrait dans la chambre, une triangle de lumière blanche quand la porte s'ouvrait, la grand silhouette noire de mon père.
Et le coup du mètre en bois sur mes fesses. Pleurs.
Apparemment, il nous avait dit de nous coucher & notre fou rire le dérangeait. Nous avons eu une blague, une petit blague bébête d'un enfant de 3 ans, quelque chose comme : where's the nut in the peanut ? (là c'est intraduisible... si qu'un peut me suggérer l'équivalente ...)
Dans quel état de tension, de colère et du stresse était mon père pour punir ainsi ses deux fillettes qui rigolaient ensemble dans le noir ?


Plus tard, je lui ai demandé ce qui s'est passé avec le mètre en bois. Il m'a répondu que sa mère l'utilisait quand il était petit.

Dr. Smith, urologist

Dr. Smith, urologist
A man in a dark suit, white shirt & glasses, the father of my classmate Marsha.

I wet my bed until late childhood. I still don't quite know why, but I suppose it was anxiety of some sort, living with volatile parents. It was decided to consult Dr. smith to see if there was anything physically wrong. My mom explained this to me as she drove me to his office.

My mother sat in the office while Dr. Smith took me into the examination room. I took off my panties & laid back on the gyn table, my legs in the metal stirrups. the room was dark except for a bright light shining down on me.
With an intent look, Dr. Smith began to insert a glass straw into my urethra. No local anesthetic or anything. It hurt & I cried & screamed & I wouldn't let him do it.
In the car on the way back, still sobbing, I told my mother that I never wanted to see him again !

Later it was decided that I should go to the hospital to be examined under general anesthetic. Nothing was physically wrong with me.

For the first time, I had my temperature taken anally. This was pleasurable. After my recovery (cloudy awakening, extreme burning sensation when I peed), I repeated this anal stimulation with a hairpin taken from my mother.
I would do this secretly in bed, being careful to wash the hairpin afterwards. As my young breasts developed, I would also use the hairpin to pinch my nipples. This was also very pleasurable. I would pull on my little nipples, hoping to make the small mounds grow. Auto-eroticism at this young age before I even knew about sex.



Dr. Smith, urologue
Un homme dans un costume foncé, chemise blanc, des lunettes, le père de ma camarade de classe, Marsha.

Je faisait pipi au lit tardivement. Je ne sais toujours pas pourquoi exactement, mais je suppose que c'était d'une sorte d'anxiété, que je vivais avec des parents volatiles. C'était décidé de consulter Dr. Smith enfin de voir s'il y avait une cause physique. Ma maman me l'expliquait quand elle m'a conduit à son cabinet.
Ma mère s'est assise dans la salle d'attente, tandis que Dr. Smith me faisait entrer dans la salle d'examination. J'ai enlevé ma petite culotte, et je me suis allongée sur la table gynéco, mes jambes dans les étriers en métal. La pièce était dans le noir, juste une lumière éclatante qui m'éclaircissait.
D'un regarde attentif, Dr. Smith commençait à insérer une paille en verre dans mon urètre. Aucun anesthésie local, ni rien. ça me faisait mal, j'ai pleuré en hurlante, et je lui ai empêché d'arriver au but.
Dans la voiture au retour, sanglotante encore, j'ai dit à ma mère que je ne voulais plus jamais lui voir !

Peu de temps après, c'était décidé de me faire examiner à l'hôpital sous anesthésie générale. Ils n'ont trouvé aucune cause physique.
Ma température était prise par voie rectale, pour la première fois. C'était agréable. Après mon rétablissement (me réveillant dans des nuages, une sensation extrême et brûlante quand je faisais pipi), je renouvelais cette stimulation anale avec une épingle à cheveux que j'avais piquée à ma mère.

Je le faisais en secret dans mon lit, faisant attention de bien le nettoyer après. Quand mes jeunes seins commençaient à pousser, je les pinçais avec cette épingle aussi. ça aussi était très agréable. Je tirais aussi sur mes petits tétons, espérant de faire pousser ces petits monts. L'auto-érotisme à cette âge tendre, avant même de prendre conscience de ma sexualité.

Sunday, May 04, 2008

Pet Girl II - VF




Nawa-kin m'a bondagé debout, un harnais autour de mes seins et de ma taille, les bras attachés et soulevés, avec une corde provocatrice entre mes fesses, ce qui restreint mes cuisses à la fois. Je suis debout devant la glace, Ôda prend quelques photos. Quelque temps après, Nawa-kin me détache les cuisses, et cette longueur de corde devient une laisse, attaché au harnais. Elles s'amusent à me donner des ordres de Toutou — Assis ! Couché ! Au pied ! — et je m'amuse à les obéir, j'aboie de temps en temps. Elles m'ordonne finalement de me coucher, je m'enroule par terre sur le tapis. Nawa-kin s'assoit dans une fauteuil, la laisse à la main, mais comme elle ne se sent pas à l'aise en Domina, elle s'assoit par terre à mes côtés. Allongée, je regarde en haut, cette nouvelle perspective m'amuse quand je vois Jade à quatre pattes, la perspective de sa silhouette rampant vers Julien, la projection porno derrière sur le mur. Je suis complètement absorbée dans cette vision, j'en suis ravie de cette perspective, quand la laisse est tiré avec autorité par le Marquis qui m'ordonne à me mettre à quatre pattes. A-t-il pris une poignée de mes cheveux lorsque je j'obéis ? Je suis excitée par sa ruse, il tire la laisse avec maîtrise.
Avec la triple badine (fagot ?) , il me donne des coups, les marques de ma punition précédente encore visibles. Il continue plus longtemps et plus fort que jamais, et je pleure et gémisse. L'intensité se mêle avec des vagues du plaisir, jusqu'à cette mélange complexe me fait fondre presque sanglotante dans les bras de Nawa-kin. Un moment d'abandon, je me lâche presque totalement, au bord du précipice émotionnel.
Je ne me souviens pas si Mast'Her m'avait consolé ensuite —c'est possible qu'il l'a fait— je me souviens juste de l'émotion qui montait dans ma poitrine sans frein, la mélange de la douleur et du plaisir, je m'effonds dans les bras de ma sœur.

Nawa-kin me confie qu'elle est jalouse de la badine — mais pas pour longtemps, comme nous sommes conduites à un coin, je m'assois sur une tabouret, mes cuisses grande ouvertes enjambant ses épaules, elle s'appuie sur moi, elle est à quatre pattes.

Lorsque Mast'Her s'en serre de la badine, plus vivement et plus longtemps qu'avec moi, lorsque l'intensité augemente, sa poitrine glisse vers le sol, elle s'accroche à ma cheville avec les deux mains. Je le regarde prendre l'interieure de ses fesses à pleine mains, la pincant et la tordant. Le mystère de cette pulsion, ces gémissemnts si forts que j'imagine que cela lui fait vraiment très mal tandis qu'il continue à s'enfoncer ses doigts, à la malaxer jusqu'à des bleus visibles quand il lache ses mains. (Mes pensées courent à toute vitesse : pourquoi il fait ça ? Est-ce qu'il va vouloir me le faire ?)
Après, il la console, il la prends dans ses bras tandis qu'elle sanglote, il lui caresse sa tête, ses cheveux... il s'assoit dans une fauteil et elle se mets à ses pieds.
Il part ouvrir la porte de l'entrée, elle reste là devant le fauteuil vide, en pleures, la tête appuyé dans ses mains. Je respecte cette instant d'émotion, je la regarde de loin. Un couple italien la console. Ôda me demande de passer les glaçons sur elle. Je le fais, et je vois ses bleus. 




/// photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis



PetGirl II


Nawa-kin bound me standing, a harness around my breasts & waist, arms attached upwards, with a provocative rope leading down the crack of my ass, binding my thighs. I stand facing the mirror as Ôda snaps some photos. Sometime later, Nawa-kin unbinds my thighs, leaving a long length of rope as a leash from the harness. They both delight in playing with me, giving me Doggy orders — Down ! Beg ! Assis ! Couché ! Au pied ! — and I playfully enact them, yelping from time to time. Finally I'm told to lie, so I curl up on the rug. Nawa-kin sits holding the leash, but as she doesn't feel comfortable as a Domina, she sits on the floor next to me. I lie looking up from the floor, this different perspective amusing me as I see Jade crawling by, the perspective of her body going towards Julien, the porno projection on the wall behind them. I'm totally absorbed in this vision, enjoying this perspective, when the leash is masterfully tugged by the Marquis who orders me onto all fours. Perhaps he also grabs a handful of my hair as I obey. His stealth & his commanding pull on the leash arouses me. Equipped with the triple badine, he begins to strike me, the marks from my previous punishment still visible. He continues longer & more strongly than before as I cry & whimper. The intensity mingles with the waves of pleasure until this complex mixture makes me fall almost sobbing into Nawa-kin's arms. A moment of abandon, almost releasing totally, emotionally right on the edge. I don't remember if Mast'Her consoled me afterwards — perhaps he did — just remembering the emotion rising up my chest uncontrollably, pain & pleasure mingling, just falling into my sister's arms.

Nawa-kin confides that's she's jealous of the badine — but not for long, as we're taken later to a corner, as I sit on a stool, my legs wide open straddling her shoulders as she leans on me, on all fours. As Mast'Her uses the badine, more strongly & longer than with me, as the intensity increases, her chest falls towards the ground, she's holding onto my ankle with both hands. I watch as he grabs the inner part of her ass with both hands, pinching & twisting it. The mystery of this impulse, her moans so loud that I know it must really hurt as he continues to press & knead until there's visible bruises when he releases his fingers. (My thoughts racing madly : why is he doing this ? will he want to do this with me ?) Afterwards he consoles her, taking her into his arms, stroking her head as she sobs... he sits in a chair & she kneels between his legs. He leaves to answer the door, she's left there before the empty chair, sobbing, her head in her hands. I respect her moment of emotion, watching from afar. An Italian couple sitting next to her consoles her. Then Ôda tells me to rub ice over her. As I do this, I can see the bruises.



/// photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis


Sunday, April 13, 2008

la salope arrive avec son buttplug

La salope arrive avec son buttplug, labia pierced for dog lease.
"Lick-my-spit slave", he said, spurting cum.
"Whip my tits", les mains attachées, le buttplug enfoncé dans mes fesses.

Princesse nue, je reve de toi. Douce soumission, sex et miroir.

Hidden sex, a neck corset, tightly corseted, soumise pierced, 
chained pierced labia photos.

hot princessex

puddle on the sheets
fouettéee avec martinet
sperm on face in outside
salope anale.

mes tétons sensibles

come on my face clit breasts
rolling on x and fucking
princesse salope.

25cm toys fuck my ass

domination pinces godes
semen in my pussy
plunging spurting cocks
legs spread apart, cock spurting
spurt on me
jambes ecartés
lips entrecuisse.

Feminine splendor, sous ton emprise

two princes kneel before you
very nue x


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I always get a kick out of the keywords googlized that land on my blog.
This is a litany of some of the best.

kiss**

*X*

Thursday, April 03, 2008

Pet shop girls




Well, now that I've been raised —or should I say, lowered— to the status of a Pet Girl, I would just like to say that I don't mind playing this role, but it's not all of my persona. In fact, I'm not a dog-lover at all, more of a cat person myself....
Hmmmm.... well, just put a leash on me & let's see where this goes ...


Histoire à suivre...



Tuesday, April 01, 2008

Pet Girl - VF

"Regardes comment elle te domine. Tu es aux petits soins".

Nawa-kin m'a bondagé avec une corde en coton noir, avec son esthétique habituelle. Un harnais me sert de brassière, mon bras droit est vissé en arrière, chaque doigt entrelacé. Mon bras gauche plié vers l'épaule, la main libre au niveau des omoplates.

J'étais inspirée par le poivre/sel en forme de caniches vintages noirs et blanches, j'ai joué à Doggy pendant le dîner. Mast'Her m'a encouragé à haleter, et j'ai fait le beau, mes pattes devant, une étincelle enthousiaste dans mes yeux. Ôda me gratte la tête, pour que je remue la queue ou bien que je bats la jambe. Je répète mon aboiement. Je capte un lueur perverse quand l'un ou l'autre m'envisage sur une laisse, à quatre pattes.

C'est le dessert — un gâteau chocolat, un fraiser, du champagne rose dans des verres Lalique en cristal.
Nawa-kin m'a donné une cuillère du gâteau et une gorgée du champagne quand Mast'Her lui fait cette remarque. 
Alors, je dois manger le gâteau sur l'assiette ! ça ne me dérange pas, au moins pas pour du gâteau, je le lape (oh, laisse la crème sur son visage, ne l'essuie pas !) ...
inconsciente de mes bruits jusqu'à Ôda me les fait remarquer, et je lèche l'assiette avec volupté. 
Quand mes doigts commencent à fourmiller, Nawa-kin me détache les bras, laissant juste le harnais autour de mes seins. 
Plus tard, elle attache mes jambes ensemble, façon kidnapping. Je m'assois sur le canapé, pas loin de Mast'Her, je fais attention de ne pas lui tourner le dos. Il me tire vers lui, ma tête sur ses genoux. Pet girl. Je suis ravie d'être si près de lui, allongée sur le canapé, Nawa-kin à mes côtés. Elle caresse doucement en haut de mes cuisses, parfois entre mes cuisses. Je laisse le plaisir monter et ça me fait trembler, des soubresauts... Des moments d'harmonie & du paix & d'appartenance. 

Mast'Her prend trois pinces à linge noires qu'il place à chaque côté de mon téton pour qu'il durci. Il dit : Et là, je mettrai une aiguille. Je le supplie avec mes yeux, et je secoue ma tête. 
Il me fait tirer la langue, et il y place une pince de chaque côté et sur le bout. Je les enlève avec mes dents, mais il les placent de nouveau. Très inconfortable et je bave. Il m'ordonne de nettoyer ma bave sur l'oreiller blanc en la léchant, je commence à la lécher, mais je lui désobéis impulsivement, je la barbouille avec mes seins. 
"Tu as encore fait ce que tu veux !"
Exaspéré, il se lève, ses jambes m'effleurent. 

L'incroyable sifflement de la badine est mon seul avertissement, il me prend à l'improviste, il me donne des coups durs pour me punir. Je crie tandis que les coups continuent, ça me redresse sur mes genoux, ça me fais danser, me vaciller pour éviter la badine jusqu'à ce que je m'asseye sur mes jambes. 
Il m'attrape brusquement par le harnais pour me faire lever. D'instinct, mes mains attrape le devant du harnais pour éviter l'étrangulation. Il prend une poignée de mes cheveux, et il ouvre ma bouche, il y enfonce une serviette en papier. Ma langue la pousse devant, il me pince les narines pour que ma bouche reste ouverte. Il déchire la serviette en petits morceaux, il les pousse ses doigts dans ma bouche, mes joues & mon palais, pour les sécher. Terminé, il me laisse. Je fais courir ma langue à l'intérieur de ma bouche pour l'humidifier, et je m'effonds. Doucement, Nawa-kin me détache les cordes.

Pet Girl


"Regardes comment elle te domine. Tu es aux petits soins".


Nawa-kin has bound me with black cotton rope, in her usual esthetic. A harness for a brassière, my right arm twisted back, each finger entwined. My left arm folded to the shoulder, the hand free at the shoulder blade.

Inspired by the black & white vintage poodle salt & pepper shakers, I had played Doggy during dinner. Mast'Her encouraged me to pant & I begged, my paws raised, an eager look in my eyes. Ôda scratches my head to make me wag my tail or thump my leg. I practice my bark. I catch the glint of luminous perversity as one or another imagines me on a leash, à quatre pattes.
So now it's dessert — chocolate cake, un frasier, pink champagne in Lalique crystal glasses.
Nawa-kin has fed me a spoonful of cake & a sip of champagne when Mast'Her makes this remark.
So I should eat cake off the plate ! I don't mind, at least not for cake, lapping it up ... (oh, leave the cream on her face, don't wipe it off !) ... unaware of the sounds I make until Ôda points it out, & I lick the plate voluptuously.
When my fingers start to tingle, Nawa-kin unbinds my arms, leaving just the harness around my breasts.
Later, she binds my legs together in a typical kidnap way. I sit on the couch, not far from Mast'Her, careful not to turn my back to him. He pulls me over so that my head is in his lap. Pet girl. I'm delighted to be so close to him, lying with my legs on the couch, Nawa-kin sitting next to me. She lightly caresses the tops of my thighs, sometimes in between them. I allow the pleasure to mount & it makes me tremble ... des soubresauts... Moments of harmony & peace & belonging.

Mast'Her takes three black plastic clothespins, clamping one on each side of my nipple, making it stand erect. He says : Et là, je mettrai une aiguille. My eyes plead no as I shake my head.

He tells me to stick out my tongue & he puts a clamp on the tip & on the sides. I push some off with my teeth, but he puts them back on. Very uncomfortable & I drool. He tells me to lick my spit off the white pillow, I start to lick, but impulsively disobey, smearing them with my tits.
"Tu as encore fait ce que tu veux !"
He gets up in exasperation, his legs brushing past me. I lie bent over the couch, my legs still bound.

The incredible swoosh of the badine is my only warning as he takes me unawares, as he strikes in a harsh downward blow to punish me. I cry out as the blows continue, making me rise up on my knees, making me dance, swaying away from the badine until I'm sitting on my legs.

He grabs the harness, roughly pulling me up. My hands instinctively grab the front of the rope to prevent it from choking me. He grabs a handful of hair & opens my mouth, stuffing a paper napkin into it. My tongue pushes it forward, he pinches my nose to keep it open. He tears off small pieces & uses his fingers to push them around my mouth, my cheeks & palate, drying the saliva, like cotton-mouth. When he's done, he leaves me. I run my tongue around my mouth to moisten it & fall forward. Nawa-kin gently unties the rope.

Sunday, March 30, 2008

pour le Marquis Noir





Le jeune vendeur m'a photographié
pour que je puisse t'envoyer les images.
J'ai adoré poser dans la boutique.

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