Je suis arrivée à l'ouverture, à 15h, pour aider avec l'anniversaire d'Ôda.
Après avoir servi la champagne et le gâteau, je regardais du comptoir les gens dans le salon. J'entends le Marquis Noir dire à Hell Liza qu'elle puisse dominer jusqu'à 18h30. Je l'observe pour voir ce qu'elle va faire, et elle se tourne vers moi.
Elle attrape mes nichons, elle les pincent fort. Je ris, je m'écarte un peu, ma réaction spontanée habituelle qui ne plaisait pas à Mast'Her. Je remarque que je ne dois pas rigoler ainsi, mais j'ai du mal à m'empêcher lorsqu'elle me pince, qu'elle me tord, la joie dans ses yeux.
Le Marquis vient lui demander comment ça se passe. Elle lui réponde "Bien mais elle fait un peu du cinéma". Il me regarde, me disant "Je ne lui ai rien dit..." Moi, une telle actrice à ses yeux !
Elle décide que je dois être baillonnée, elle demande du scotch. Du scotch large et blanc qu'elle enroule autour de mon visage, mes cheveux, ma bouche.
Bizarrement, j'aime cette restreinte.
Elle se régale à me pincer et à gifler mes seins.
Elle me demande de me retourner, de m'appuyer contre le comptoir, les jambes écartées, le dos bien cambré.
Elle me fesse; ensuite elle me demande s'il y a un problème qu'elle me griffe. Je l'accord, comme je n'ai jamais éprouvé ce genre de chose — et je le regrette immédiatement quand elle fait des longues et larges griffures avec ses ongles comme une harpie sur tout mes jambes et mon dos, des plus petites griffures d'animale sur mes fesses.
Elle écarte mes jambes et commence à me doigter, mais il lui dit de mettre un gant avec du gel.
Cela la froisse un peu. Comme elle doit utiliser cette protection, elle décide de déplacer la scène à l'étage, elle se trompe presque quand elle prend le savon liquide antibacterien au lieu du gel ! (au secours !)
Je m'allonge sur le lit, et elle commence à travailler, me doigter, me pénétrer. Cela me semble plus familier que mon exploration de sa foufoune, comme j'ai ressenti ces gestes plein de fois avec mes amants.
Quelques hommes nous observent. Quelques-uns essaient de participer, mais elle les chasse avec sa main. Sauf "l'ange blanc", le soumis à la Domina Belge, il me suce le nichon. J'avais joué avec lui plus tôt dans la soirée, quand elle l'avait couvert du chocolat.
Je gémisse, elle s'en fourre, le plaisir commence à monter. Elle s'enfonce pleinement, ça me fait jouir, frissons.
Quand c'est terminé, je lui demande si elle a mis entièrement sa main. Oui — jusqu'au poignée. Je me suis dit que je devrais avoir été déjà fisté par mes amants sans le savoir.
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