" Il y a des gants et du gel sur le comptoir, si tu veux approfondir ..."
Je l'avais regardé travailler les seins volumineux de Liza, en les malaxant, les écrasant. Je le regardais, et je me suis projetée dans le scène, qu'il fasse la même chose avec moi. La torture érotique, vers l'évanouissement.
Il m'offre un nichon, je le mordille, je le suce, je le mords pour l'intensité.
Quand il a fini, il me dit de prendre soin d'elle, comme il m'a déjà dit pendant que je servais le champagne pour l'anniversaire de Roman.
Je savais ce qu'il désirait, ce qu'il avait envie que je fasse.
Elle s'assoit dans une chaise, les jambes bien écartés, & j'ouvre les couches multiples de ses jupons, comme la petite bergère Jeanneton — je caresse doucement son clitoris, et je glisse mon doigt plus bas.
Deux admirateurs masculins nous entourent.
Il décore les bout de ses nichons avec la crème et des cerises du gâteau, il invite un des admirateurs de le lécher. Puis, il me suggère les gants en Latex.
J'y glisse ma main, je l'inonde du gel, je commence à caresser et à plonger dans cette territoire inconnue.
Je sens la crête de son os pubien, la force de ses muscles. Encore plus profonde, je sonde, je la regarde dans les yeux pour voir ses réactions qui me semblent d'être du plaisir. Je cherche le point-g, je la sonde... je rajoute un doigt jusqu'à ma main s'y glisse.
Je n'aime pas toucher l'intérieur de quelqu'un, et je suis contente de porter ce gant noir en Latex.
J'appuie mon poignée contre l'autre main, et subitement je ressens une alignement de rigidité, de mon coude aux bouts de mes doigts. Mon bras me semble indépendant, comme une machine ou un instrument — et j'imagine que je ne pourrai pas m'approcher plus à une érection.
Mon bras est comme une bite. L'odeur humide de foufoune.
L'alignement de rigidité.
Sachant qu'il veut que je vis cela.
Envie de donner du plaisir, pas envie qu'on me touche en même temps.
Envie de donner du plaisir, comme pour une fellation, la même chose.
Pas de sentiment du pouvoir ni de la domination. Le don de soi.
Quand je me lève, mes cuisses sont maculés de mon excitation, elles glissent quand je marche.
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