Monday, May 05, 2008

Dr. Smith, urologist

Dr. Smith, urologist
A man in a dark suit, white shirt & glasses, the father of my classmate Marsha.

I wet my bed until late childhood. I still don't quite know why, but I suppose it was anxiety of some sort, living with volatile parents. It was decided to consult Dr. smith to see if there was anything physically wrong. My mom explained this to me as she drove me to his office.

My mother sat in the office while Dr. Smith took me into the examination room. I took off my panties & laid back on the gyn table, my legs in the metal stirrups. the room was dark except for a bright light shining down on me.
With an intent look, Dr. Smith began to insert a glass straw into my urethra. No local anesthetic or anything. It hurt & I cried & screamed & I wouldn't let him do it.
In the car on the way back, still sobbing, I told my mother that I never wanted to see him again !

Later it was decided that I should go to the hospital to be examined under general anesthetic. Nothing was physically wrong with me.

For the first time, I had my temperature taken anally. This was pleasurable. After my recovery (cloudy awakening, extreme burning sensation when I peed), I repeated this anal stimulation with a hairpin taken from my mother.
I would do this secretly in bed, being careful to wash the hairpin afterwards. As my young breasts developed, I would also use the hairpin to pinch my nipples. This was also very pleasurable. I would pull on my little nipples, hoping to make the small mounds grow. Auto-eroticism at this young age before I even knew about sex.



Dr. Smith, urologue
Un homme dans un costume foncé, chemise blanc, des lunettes, le père de ma camarade de classe, Marsha.

Je faisait pipi au lit tardivement. Je ne sais toujours pas pourquoi exactement, mais je suppose que c'était d'une sorte d'anxiété, que je vivais avec des parents volatiles. C'était décidé de consulter Dr. Smith enfin de voir s'il y avait une cause physique. Ma maman me l'expliquait quand elle m'a conduit à son cabinet.
Ma mère s'est assise dans la salle d'attente, tandis que Dr. Smith me faisait entrer dans la salle d'examination. J'ai enlevé ma petite culotte, et je me suis allongée sur la table gynéco, mes jambes dans les étriers en métal. La pièce était dans le noir, juste une lumière éclatante qui m'éclaircissait.
D'un regarde attentif, Dr. Smith commençait à insérer une paille en verre dans mon urètre. Aucun anesthésie local, ni rien. ça me faisait mal, j'ai pleuré en hurlante, et je lui ai empêché d'arriver au but.
Dans la voiture au retour, sanglotante encore, j'ai dit à ma mère que je ne voulais plus jamais lui voir !

Peu de temps après, c'était décidé de me faire examiner à l'hôpital sous anesthésie générale. Ils n'ont trouvé aucune cause physique.
Ma température était prise par voie rectale, pour la première fois. C'était agréable. Après mon rétablissement (me réveillant dans des nuages, une sensation extrême et brûlante quand je faisais pipi), je renouvelais cette stimulation anale avec une épingle à cheveux que j'avais piquée à ma mère.

Je le faisais en secret dans mon lit, faisant attention de bien le nettoyer après. Quand mes jeunes seins commençaient à pousser, je les pinçais avec cette épingle aussi. ça aussi était très agréable. Je tirais aussi sur mes petits tétons, espérant de faire pousser ces petits monts. L'auto-érotisme à cette âge tendre, avant même de prendre conscience de ma sexualité.

1 comment:

princesse.x said...

For me, this examination was like an attempted rape in its own way. No wonder I was afraid of men fro a long time.