Sunday, May 04, 2008

Pet Girl II - VF




Nawa-kin m'a bondagé debout, un harnais autour de mes seins et de ma taille, les bras attachés et soulevés, avec une corde provocatrice entre mes fesses, ce qui restreint mes cuisses à la fois. Je suis debout devant la glace, Ôda prend quelques photos. Quelque temps après, Nawa-kin me détache les cuisses, et cette longueur de corde devient une laisse, attaché au harnais. Elles s'amusent à me donner des ordres de Toutou — Assis ! Couché ! Au pied ! — et je m'amuse à les obéir, j'aboie de temps en temps. Elles m'ordonne finalement de me coucher, je m'enroule par terre sur le tapis. Nawa-kin s'assoit dans une fauteuil, la laisse à la main, mais comme elle ne se sent pas à l'aise en Domina, elle s'assoit par terre à mes côtés. Allongée, je regarde en haut, cette nouvelle perspective m'amuse quand je vois Jade à quatre pattes, la perspective de sa silhouette rampant vers Julien, la projection porno derrière sur le mur. Je suis complètement absorbée dans cette vision, j'en suis ravie de cette perspective, quand la laisse est tiré avec autorité par le Marquis qui m'ordonne à me mettre à quatre pattes. A-t-il pris une poignée de mes cheveux lorsque je j'obéis ? Je suis excitée par sa ruse, il tire la laisse avec maîtrise.
Avec la triple badine (fagot ?) , il me donne des coups, les marques de ma punition précédente encore visibles. Il continue plus longtemps et plus fort que jamais, et je pleure et gémisse. L'intensité se mêle avec des vagues du plaisir, jusqu'à cette mélange complexe me fait fondre presque sanglotante dans les bras de Nawa-kin. Un moment d'abandon, je me lâche presque totalement, au bord du précipice émotionnel.
Je ne me souviens pas si Mast'Her m'avait consolé ensuite —c'est possible qu'il l'a fait— je me souviens juste de l'émotion qui montait dans ma poitrine sans frein, la mélange de la douleur et du plaisir, je m'effonds dans les bras de ma sœur.

Nawa-kin me confie qu'elle est jalouse de la badine — mais pas pour longtemps, comme nous sommes conduites à un coin, je m'assois sur une tabouret, mes cuisses grande ouvertes enjambant ses épaules, elle s'appuie sur moi, elle est à quatre pattes.

Lorsque Mast'Her s'en serre de la badine, plus vivement et plus longtemps qu'avec moi, lorsque l'intensité augemente, sa poitrine glisse vers le sol, elle s'accroche à ma cheville avec les deux mains. Je le regarde prendre l'interieure de ses fesses à pleine mains, la pincant et la tordant. Le mystère de cette pulsion, ces gémissemnts si forts que j'imagine que cela lui fait vraiment très mal tandis qu'il continue à s'enfoncer ses doigts, à la malaxer jusqu'à des bleus visibles quand il lache ses mains. (Mes pensées courent à toute vitesse : pourquoi il fait ça ? Est-ce qu'il va vouloir me le faire ?)
Après, il la console, il la prends dans ses bras tandis qu'elle sanglote, il lui caresse sa tête, ses cheveux... il s'assoit dans une fauteil et elle se mets à ses pieds.
Il part ouvrir la porte de l'entrée, elle reste là devant le fauteuil vide, en pleures, la tête appuyé dans ses mains. Je respecte cette instant d'émotion, je la regarde de loin. Un couple italien la console. Ôda me demande de passer les glaçons sur elle. Je le fais, et je vois ses bleus. 




/// photo © Tous droits reservés by les Goûters du Divin Marquis



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