Wednesday, December 26, 2007

A mean muthafuka - VF

Le Marquis-Noir m'ordonne de m'offrir à un jeune homme après que je le flagelle.

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Quand il est entré dans le club portant son T-shirt noir, j'ai pensé : "ce mec ne sait rien". Des flashes d'alarmes psychiques clignotaient autour de lui et je voyais la vibration d'une aura blanche m'avertissant.
Il est nerveux caché sous son masque et il fait l'erreur de toucher les poids sur la chaîne que tu m'as mis entre mes lèvres labiales. "C'est lourd?" il me demande, et tu viens me protéger, lui disant qu'il doit demander d'abord avant de toucher.
Cependant, tu le provoques plus tard, me disant de m'asseoir en ouvrante encore plus mes cuisses puisqu'il veut regarder, assis devant de moi. Je ne le regardes pas, je m'en fous de lui derrière son masque.
Pendant ce goûter, tu m'as demandé demandé de switcher, et j'ai déjà flagellé deux hommes et une femme quand ce jeune homme demande ta permission d'être flagellé aussi. C'est-à-dire, il me le demande au moment où je remets le martinet de nouveau à Ôda, et nous lui disons tous les deux qu'il doit te demander. Je suis surprise que tu l'accordes.
Je prends les deux martinets et je l'emmène à l'étage. Tu arrives rapidement et tu t'assois dans le fauteuil au coin pour nous observer. Il descende de son pantalon un peu, mais je lui dis de le laisser tomber à ses chevilles. Tu l'encourages. Et je commence à le fouetter, visant au mieux, te regardant dans notre complicité amusée. Sa main se déplace vers sa bite pour la caresser, mais je lui dis qu'il n'a pas le droit de se toucher et j'y vais vérifier à ta commande.
"T'as vu comment il bande ? Tu vas lui vider les couilles plus tard", tu me dis. Je le caresse uniquement pour te plaire.
Enfin tu décides qu'il devrait me sodomiser. Je n'ai absolument aucun désir, mais je t' obéis néanmoins. Je place les martinets sur l'étagère, et je te suis dans la chambre.
Je me tiens à tes côtés quand il entre, et ses mains attrapent les bouts de mes seins pour les pincer d'une façon vraiment dure et qui fait très mal, et je lui dis d'arrêter, en repoussant ses mains. Tu le fais rappeler d'être plus doux dans son approche à mes tétons sensibles.
Il laisse tomber un peu son pantalon et je lui dis de les enlever, il se déshabille complètement excepté peut-être ses chaussettes (je le déteste quand les hommes gardent leurs chaussettes !).
Tu me commandes de me mettre à 4 pattes, et je m'agenouille sur le lit pendant que tu lui donnes un capote. Quelqu'un met du gel sur mon anus — il commence à me pénétrer et je demande encore plus du gel. Je pense à Monsieur Os, à son énorme queue .
Il plonge dans moi et sa main frappe durement sur mon flanc, détournant la douleur de la pénétration vers ma cuisse. ça me fait mal, comme il frappe fois et j'entre dans cet espace d'ombre à l'intérieur de moi, toutes les pensées et les sentiments embrouillés, mon cerveau se concentre sur mes fesses, sa main, ta présence, et surtout mes émotions. Je suis à plat ventre, mon visage niché dans mes bras cachée sous mes cheveux. Je pleure, non, non... pendant qu'il continue à frapper. Ses mains tentent de pincer mes tétons, mais je les repousse.
Tu es allongé sur le lit à ma droite et je te dis "Il est méchant". Un enfoiré méchant.
Il cesse de me frapper, je ne sais pas si tu lui à fait signe ou bien s'il a entendu ce que j'ai dit.
Je me sens en colère et triste, fâché contre lui parce qu'il est un enfoiré méchant, fâché contre toi qui m'as offert à lui, triste pour moi-même.
Je tourne mon désir vers toi pendant qu'il continue à m'enculer. Le corps sent l'excitation physique même lorsque l'esprit a des émotions contradictoires. Ainsi je tourne mon énergie vers toi.
"Salope" tu me dis, "you bad girl".
"Yes, I'm a bad girl", je réponds en souriant car tu sais faire le déclic, et maintenant ce que je fais est complètement pour te plaire.
Je caresse ma chatte pour faire monter le plaisir, ma chair douce,humide et gonflée, mais mes doigts semblent éloignés ainsi je demande les tiens. ("please"... tu me rappelles). Je me léve, je me colle contre toi, embrassant ton cou pendant que tes doigts me stimulent et l'électricité me fait sauter et cambrer.
Et alors tu décides qu'il devrait jouir sur mes seins. Je m'assieds ou me tiens devant lui, mes mains soulèvent et offrent mes seins. Il retire la capote, il se branle — ton bras est autour de ma taille, je crois— et je regarde le plafond, les yeux fermés, pas envie de l'observer, alors que son foutre s'éclate sur ma poitrine. La chaleur est agréable, mais je ne veux pas sentir son sperme. Il a fini de jouir et il prend un kleenex. Je lui demande "beaucoup de kleenex" tandis qu'il me donne un seul. Tu répètes : elle a dit "beaucoup" ! Il m'en donne une poignée et je m'essuie au mieux avant d'aller au lavabo.
Il me suit, se tenant impatiemment de l'autre côté du rideau, me demandant une serviette. A l'évier, je rinçe ma poitrine de son sperme. Je lui demande, "Au début, il y a eu des coups, mais je ne savais pas si c'était toi ou lui".
"C'était lui", il ment et nous le savons tous les deux. Cependant, comme c'était si désagréable pour moi, je suis dans un 
étrange 
moment de doute.
Le jour suivant, un bleu noir la taille d'un pouce est curieusement placée sur l'avant de ma cuisse.

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