Wednesday, August 13, 2014

Punir et posséder (version officiel)

I. Les faits
À peine arrivée chez toi, ma valise posée, tu m'as demandé de chercher mon collier, que tu attaches autour de mon cou.


Tu t'assois sur le canapé, les jambes écartées, pour que je puisse m'agenouiller devant toi, à ta demande.

"Alors, raconte-moi les faits de la soirée apéro", tu me demandes.



Cette soirée estivale, pour une poignée d'ami-e-s encore à Paris juste avant le 15 août, semaine mortelle et vide.

Cette soirée conviviale et gourmande, le plaisir de cet apéro dînatoire. Certaines convives devaient partir pour prendre le dernier métro, mais comme j'avais prévu de rentrer en taxi, je suis restée.
Vient un jeu spontané et improvisé. Une amie m'attache la poitrine avec une longue tissu "porte-bébé", attachant ainsi mes bras au long du corps. Les yeux bandés, jetée à genoux sur le canapé, tête vers le dossier, elle me livre ensuite à un ami. Des fessées, du double martinet, du paddle — la séance à duré un bon moment, en me laissant des marques et des bels bleus... ce qui m'a inspiré une poste sur FB :

Famous last words : " Oh non, ça ne laissera pas de trace. J'ai fait soft !"
Rien d'extraordinaire pour une séance, mais par ce poste tu as appris que j'avais des bleus sur les fesses, à trois jours de mon arrivée chez toi.



Une fois ces faits racontés, tu m'as demandé de te dire les trois mots que j'avais choisis, en me précisant que tu me les redemanderas plusieurs fois pendant le weekend. Je les avais écrit, pour bien les mémoriser, afin de pouvoir te les dire à haute voix.
Tu m'avais l'air un peu ému pour "certitude". Quand je t'ai dit : je suis soumise à toi et à personne d'autre, tu m'as demandé : t'es sûre ?



Punition !



Tu me fais me pencher en avant pour recevoir ta fessée, avec les poids qui tirent mes tétons et mes lèvres de ma vulve vers le bas. Puis, tes cinglants coups de cravache commencent à couvrir les traces, les bleus déjà existant de la soirée avec les tiennes.



Tu me demanderas d'aller voir cet ami pour lui montrer tes marques, ou bien lui envoyer une photo. Oui, ça te plaira bien, tu me dis.
 Ce sera ta façon de clarifier la situation, notre relation, le fait que je suis ta soumise. Tu t'affirmes — à toi de voir comment faire.



Je suis de nouveau à genoux devant toi. J'embrasse tes pieds, avant de me prostrer. Tu allonges tes jambes, tes pieds sur mon dos, pendant que je réfléchisse.

II. Ma tristesse
Une période de réflexion à genoux avant de prendre la douche. J'ai bien compris que mon comportement lors des jeux pendant la soirée apéro a teinté ce weekend qui était autrement splendide. Mes larmes coulent avec de la tristesse. Tu as peut-être vu les traces quand je me suis levée pour prendre ma douche.

III. Épilogue
Sur ta demande, j'ai envoyé les photos avec un mot à l'ami de la soirée apéro. Avec cela, l'histoire est close.

Comprendre la raison pour une punition est facile, mais comprendre la façon dont la punition est exécutée est plus complexe sur le moment dans tes choix des actions et ton intention pendant la punition — comment tu détournes en punition certains actes qui peuvent être agréables, voire même l'utilisation de ta queue pour me punir au lieu de me donner du plaisir.

Tu as envie de marquer ma soumission avec la publication de ces récits dans princesse.x, et à travers cela, dire que tu es mon Maître — que cela se sache. La période de "discrétion" au sujet de notre relation est terminée.

Un Maître qui punisse sa soumise montre qu'il tient à elle — d'autant plus, si c'est rendu public.

Merci Maître de m'avoir puni.



—with Lorex—

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