D'Ange a aussi raconté cette nuit, j'ai mis son texte juste après celui-ci : "Sweet /seXteen"
***
Un dîner en amoureux, un baiser d'amoureux, si joyeux… mes bras autour de ton cou lorsque nous nous embrassons encore plus, plus haute encore, on touche le ciel, nous arrivons à ma porte.
Je prends le courrier, j'ouvre les serrures.
Et puis, plus rien n'est pareil, le courrier n'est pas mis à sa place, pas le temps d'enlever mon manteau : tu me presses contre le mur dans l'obscurité, m'embrassant, m'embrassant, me serrant fort.
Ma main laisse tomber les lettres, ma toque, mon sac, au sol pendant que je succombe à ton charme. Non, à ta passion, car tu enlèves mon manteau, le jetant au sol, me plaquant contre la porte, ma culotte et mes bas tirés rudement vers mes pieds, je suis cambrée, mes fesses offertes.
Tu me touches, je peux sentir ton souffle sur ma nuque pendant que tu me mords, me saisissant comme ta proie.
J'attends, je t'entends prendre en main ton instrument. Et puis le bruit du martinet, son vent, cinglant mes fesses et mes cuisses, fort, persistantes. Il me semble un peu comme une punition, je l'accepte: était-ce parce que je t'avais parlé de l'autre, de C. ??
Ou, c'est ton émotion, la première fois que tu me fouettes, et j'adore.
Je sens ta présence autour de moi, car tu fais une pause pour enlever ta veste. J'écoute, je respire, j'attends.
Et tu viens me caresser, avant de continuer, so sexy… et quand tu as terminé, tu me prends dans tes bras, pour m'embrasser…
« Fais nous un thé », tu me dis, et je le prends comme ton premier ordre.
Je me sens humble lorsque je le prépare. Je peux te voir t'assoir à la table dans le pénombre, la lumière ambiante éclaircie par les fenêtres. Quelque chose dans la façon que tu t'es assis, droit, viril, un bras sur la table, les jambes écartés confortablement… me regardant…
J'apporte le plateau à la table, et je nous sers des petites tasses rouges du thé.
Et je me mets à genoux à tes pieds, un main sur ta cuisse, soumise. Une expression de mon émotion, parce qu'alors j'ai su : tu étais mon Maître.
Je prends le courrier, j'ouvre les serrures.
Et puis, plus rien n'est pareil, le courrier n'est pas mis à sa place, pas le temps d'enlever mon manteau : tu me presses contre le mur dans l'obscurité, m'embrassant, m'embrassant, me serrant fort.
Ma main laisse tomber les lettres, ma toque, mon sac, au sol pendant que je succombe à ton charme. Non, à ta passion, car tu enlèves mon manteau, le jetant au sol, me plaquant contre la porte, ma culotte et mes bas tirés rudement vers mes pieds, je suis cambrée, mes fesses offertes.
Tu me touches, je peux sentir ton souffle sur ma nuque pendant que tu me mords, me saisissant comme ta proie.
J'attends, je t'entends prendre en main ton instrument. Et puis le bruit du martinet, son vent, cinglant mes fesses et mes cuisses, fort, persistantes. Il me semble un peu comme une punition, je l'accepte: était-ce parce que je t'avais parlé de l'autre, de C. ??
Ou, c'est ton émotion, la première fois que tu me fouettes, et j'adore.
Je sens ta présence autour de moi, car tu fais une pause pour enlever ta veste. J'écoute, je respire, j'attends.
Et tu viens me caresser, avant de continuer, so sexy… et quand tu as terminé, tu me prends dans tes bras, pour m'embrasser…
« Fais nous un thé », tu me dis, et je le prends comme ton premier ordre.
Je me sens humble lorsque je le prépare. Je peux te voir t'assoir à la table dans le pénombre, la lumière ambiante éclaircie par les fenêtres. Quelque chose dans la façon que tu t'es assis, droit, viril, un bras sur la table, les jambes écartés confortablement… me regardant…
J'apporte le plateau à la table, et je nous sers des petites tasses rouges du thé.
Et je me mets à genoux à tes pieds, un main sur ta cuisse, soumise. Une expression de mon émotion, parce qu'alors j'ai su : tu étais mon Maître.
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